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    Jeudi 30 octobre 2008

     

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    http://www.lenouvelislamdefrance.com/

    Eva : Je vois  que l'image mobile, multiple, superbe, n'apparaît pas

    elle est ici :

    http://www.lenouvelislamdefrance.com/


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    Lundi 13 octobre 2008







    Propagande de haine :
    28 millions de DVD anti-musulmans


    En deux semaines, 28 millions de foyers états-uniens ont reçu gratuitement un DVD du film de propagande Obsession : Radical Islam’s War Against the West.




    Les destinataires résident dans les États où les résultats électoraux sont les plus incertains (notamment l’Ohio, le Michigan, la Florida, le Colorado, la Caroline du Nord, la Pennsylvanie et le Missouri). Il s’agit de les convaincre de l’existence d’un péril islamique et de les inciter à voter pour le candidat républicain, John McCain.


    L’opération, dont le coût est estimé à plus de 50 millions de dollars, a été financée par le producteur du film, le rabbin Ephraim Shore.


    - Lire l’analyse du film : « 
    L’obsession du complot islamique mondial », par Thierry Meyssan (Réseau Voltaire, 26 juin 2007)


    http://www.voltairenet.org/article158101.html

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    Lundi 27 octobre 2008





    Vatican

    Le Synode des évêques veut poursuivre
    le dialogue avec les Juifs et les Musulmans

    Article publié le 26/10/2008 Dernière mise à jour le 26/10/2008 à 15:38 TU

    Mieux faire connaître la Bible aux fidèles catholiques, c'était l'objectif principal du synode qui vient de se tenir au Vatican.

    Parmi les principales propositions suggérées à Benoît XVI, évêques et cardinaux réaffirment l'importance du dialogue avec les juifs et les musulmans.

    Ils proposent aussi d'élargir aux femmes, le ministère du « lecteur », dévolu jusqu'à présent aux seuls hommes laïcs et ils suggèrent de se pencher davantage sur le phénomène des sectes pour mieux les neutraliser.

     

     

    Les évêques proposent d'étendre les traductions de la Bible.
    ( Photo : Wikimedia )

    Avec notre correspondant à Rome, Antoine-Marie Izoard

    Mieux faire connaître la bible aux fidèles catholiques, c'était l'objectif principal de ce Synode des évêques au Vatican. Plus de 250 évêques et cardinaux du monde entier, des auditeurs, et des experts dont une poignée de femmes, ont planché pour faire au pape une cinquantaine de propositions.


    Ils y réaffirment l'importance du dialogue avec leurs frères aînés, les juifs, mais aussi avec les musulmans, sur des valeurs éthiques comme le respect de la vie, les droits de l'homme et de la femme mais aussi la liberté religieuse.

    Les pères synodaux ont aussi proposé d'élargir aux femmes, le ministère du « lecteur », une tâche réservée aujourd'hui aux hommes qui se préparent à devenir prêtre.

    Traduire la Bible

    Ils ont aussi souhaité que chaque chrétien à travers le monde puisse posséder une Bible, insistant pour cela sur la traduction du texte dans des langues rares. Evêques et cardinaux ont aussi souhaité faire face aux défis grandissants que représente la lecture fondamentaliste de la bible, proposée par les sectes.

    Ils se promettent de mieux étudier le phénomène des sectes mais aussi d'améliorer leurs propres homélies pour ne pas perdre de fidèles, mais aussi de mieux former leurs prêtres et leurs cathéchistes. Ces propositions ont été remises à Benoît XVI, qui publiera dans plusieurs mois une exhortation post-synodale.


    http://www.juif.org/go-news-69789.php


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    Vendredi 24 octobre 2008

     

     

    23.10.2008

     

    Juifs et Noirs du 19ème, embrassez-vous !

     

    « Je suis belle et noire, fille de Jérusalem. »
    Ainsi parlait la reine de Saba dans le « Cantique des Cantiques », le poème biblique qui raconte les amours qui lièrent Salomon, roi d’Israël, fils de David à Makéda, la reine de Saba.
    De cette liaison naquit Ménélik, auquel Salomon le « Sage parmi les hommes », légua le tabernacle contenant les fameuses Tables de la Loi.
    Depuis on trouve des juifs en Ethiopie et aussi dans d’autres pays d’Afrique. Les Falachas, les juifs noirs d’Ethiopie sont des descendants de Ménélik.


    La Reine de Saba.jpgC’est cette mythique histoire entre Juifs et Noirs que le célèbre écrivain Marek Halter raconte dans son dernier livre* « La reine de Saba »,

    Marek Halter auteur notamment de : Le fou et les rois (Prix Aujourd'hui), La Mémoire d'Abraham (Prix du Livre Inter 1984 etc…,) dit: 

    Marek Halter 3.jpg
    « Je veux faire rêver les gens et partager avec eux quelques connaissances. Mais je pense que ceux qui auront lu ce livre ne regarderons plus leurs voisins noirs de la même façon. »




    En ce moment où, après des années de méfiance réciproque, les Juifs et les Noirs se redécouvrent aux Etats-Unis, en ce moment particulier où, les jeunes juifs se mobilisent à New-York, en Floride ou dans le New Jersey pour porter Barack Obama à la Maison Blanche, j’ai envie de dire aux habitants du 19ème arrondissement de Paris à la suite des évènements qui opposent depuis quelques temps des jeunes juifs aux jeunes noirs :

    « Juifs et Noirs du 19ème, embrassez-vous ! »


    *« La Reine de Saba »de Marek Halter aux Editions  Robert Laffont


    http://www.juif.org/go-news-69530.php


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    Mercredi 22 octobre 2008
    Mercredi 22 octobre 2008


    LA LIGUE
    DES DEMOCRATIES-MENEE PAR LES USA – EN GUERRE CONTRE LES DICTATURES – LES REGIMES AUTORITAIRES –

    ET,

    PAR LE PUR DES HASARDS LES REGIMES AUTORITAIRES SONT LA CHINE, LA RUSSIE

    ET

    QUI  D’AUTRES…?

     

     

    Robert Kagan, de l’Occident aux démocraties

    Robert Kagan s’est fait connaître du grand public avec la publication de son ouvrage en 2003 La puissance et la faiblesse, dans lequel il fustigeait la faiblesse des Européens, descendants de Vénus, par opposition à la force des Américains, venus de Mars.

     

    Aujourd’hui conseiller de campagne de John McCain, cette figure de proue du mouvement néoconservateur américain revient à la charge avec The Return of History, un ouvrage qui s’inquiète de la montée des dictatures, et reprend sans le savoir le titre d’un livre publié il y a quinze ans en France par Guillaume Parmentier, Le retour de l’histoire - mais certainement pas le contenu, l’apport de Kagan étant une fois de plus aussi limité qu’inquiétant, et les deux travaux ne se rejoignant que pour s'opposer à La fin de l’histoire de Francis Fukuyama- .

     

    On y lit un glissement rhétorique de l’Occident vers les démocraties, qui symbolise l’évolution des néoconservateurs, mais n’en est pas moins préoccupant, et marque le retour de ceux qui façonnèrent la politique étrangère américaine après le 11 septembre, à défaut de l’histoire.

     

    Une ligue des démocraties pour contrer les régimes autoritaires

     

    Une forme de messianisme qui peut facilement dépasser les frontières

    Une ligue des démocraties, voilà une idée a priori séduisante, et qui semble presque à contre-courant des thèses des néoconservateurs, réputés à l’écoute de l’unilatéralisme.

     

    Pas tant que cela cependant.

     

    Les néoconservateurs renient facilement le réalisme en politique, pour lui préférer une forme de messianisme qui peut facilement dépasser les frontières.

     

    Avec une formule qui les caractérise :

     

    "Multilatéraux quand nous le pouvons, unilatéraux quand nous le devons", comme pour rappeler les limites du multilatéralisme.

     

    Kagan ne fait que revenir aux fondements du mouvement néoconservateur

    Mais l’aventure américaine en Irak a prouvé que la formule inverse était tout aussi valable pour les néoconservateurs, qui semblaient systématiquement rechercher l’unilatéralisme.

     

    Revenus à un réalisme par nécessité plus que par choix, ils retrouvent donc leur objectif initial, un messianisme imposant ses vues largement au-delà des frontières, et profitant d’un multilatéralisme dans lequel la morale -à laquelle ils adhèrent- serait érigée en dogme.

     

    Bref, en plaidant pour une ligue des démocraties, Robert Kagan ne fait que revenir aux fondements du mouvement néoconservateur.

     

    Cette ligue des démocraties est dès lors inquiétante car elle a pour seul but de faire accepter l’unilatéralisme, pour lui donner plus de force.

     

    Des démocraties de Mars, ou de Vénus ?

     

    Reste à savoir quelle doit être l’attitude des démocraties si les régimes autoritaires refusent de se soumettre.

     

    Si les néoconservateurs se sont reconvertis dans une nouvelle quête, celle d’un front des démocraties, continuent-ils pour autant de plaider pour le recours à la force, ou ont-ils modifié leur manière de concevoir les relations avec les ennemis de la démocratie ?

     

    Sur ce point, Kagan dévoile son projet, qui consiste à élargir à l’ensemble des démocraties sa vision de la politique étrangère américaine, faite de promotion de la démocratie et de moyens coercitifs quand cela est nécessaire.

     

    En d’autres termes, il plaide pour des démocraties bienveillantes, mais rejette dans le même temps une forme de passivité déjà relevée et dénoncée chez les Européens.

     

    Des démocraties venant de Mars donc, et non de Vénus, pour reprendre la distinction qu’il avait opérée dans La puissance et la faiblesse entre Américains et Européens.

     

    Un retour de l’histoire… récente, en quelque sorte.

     

    Les Européens, hostiles à l’unilatéralisme, pourraient toutefois être plus facilement séduits.

     

    Le problème vient du fait que les Européens, hostiles à l’unilatéralisme, pourraient cette fois être plus facilement séduits par un messianisme qui les inclurait.

     

    L’objectif de Kagan est donc simple :

     

    convaincre les Européens que eux aussi peuvent descendre de Mars, au cas où les autres moyens, comme la diplomatie - notamment la diplomatie transformationnelle de l’administration Bush 2, qui consiste à promouvoir la démocratie-, échoueraient.

     

    Démocratie ou puissance : de quoi parle-t-on exactement ? 

     

    La démocratie ne s’impose pas d’elle-même, ce qui suppose qu’elle doit être imposée.

     

    Mais le plus gros problème, qu’on relevait déjà dans La puissance et la faiblesse, vient du fait que Robert Kagan confond souvent démocratie et puissance.

     

    Une confusion qui n’est certainement pas étrangère au fait qu’il plaide en faveur de démocraties fortes, capables de vaincre les dictatures.

     

    Kagan estime ainsi que la démocratie ne s’impose pas d’elle-même, ce qui suppose implicitement qu’elle doit être imposée.

     

    Une vision wilsonienne des relations internationales, selon laquelle la démocratie doit s’imposer ; mais un wilsonisme botté, déjà difficilement expérimenté à l’occasion de l’administration Bush 1.

     

    En ajoutant à cela un "choc des régimes" entre des démocraties fortes et des dictatures qui ne le sont pas moins -avec en ligne de mire la Chine-, tous les ingrédients d’une nouvelle vision inquiétante des relations internationales sont réunis, sans apporter de réponse crédible aux moyens de faire reculer les dictatures.

     

    En tout cas, à ceux qui se demandaient ce que sont devenus les néoconservateurs, Robert Kagan répond qu’ils sont toujours en embuscade, et que si leur obsession pour l’unilatéralisme s’est dissipée, c’est toujours bel et bien la puissance américaine qui les anime… » 

     


    Barthélémy COURMONT -
    Responsable du Bureau IRIS à Taiwan et chercheur au Centre d’Etudes Transatlantiques –CET- Ouvrages publiés :

     

    L’autre pays du matin calme. Le paradoxe nord-coréen, Paris, Armand Colin, 2008 / La guerre, Collection « 128 », Paris, Armand Colin, 2007 / Pourquoi Hiroshima ?

    La décision d’utiliser la bombe atomique, Paris, L’Ha


    http://hadria.riviere.over-blog.com/article-24005815.html

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