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    Dimanche 14 septembre 2008

     

     


    Indian Muslims

    Muslim-Christian dialogue can succeed
    only by recognizing realities : Tariq Ramadan


    By TwoCircles.net staff reporter,

    mardi 8 juillet 2008
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    New Delhi : Eminent theologian and writer Tariq Ramadan delivered a lecture on ‘Christianity and Islam : Values and History’ on 3rd July at Jamia Millia Islamia (JMI). The programme was organized under JMI’s Outreach programme.

     

    Prof Ramadan’s talk focused on the similarities and differences between the two great religions of the world and the need to rise above differences and look at ways to live with harmony and trust. He stressed the need for honest self-appraisal, critical thinking and a commitment to the principles of one’s own religion while also showing respect for other traditions, beliefs and practices.

     

    A Swiss Muslim, academic and theologian, Ramadan spoke passionately for the need to re-visit and re-appraise old, contentious issues. He advocated the studying and re-interpretation of Islamic texts, and emphasized the heterogeneous and diverse nature of Islamic society. He stressed that Muslims in Europe have to establish a new “European Islam” and emphasized the necessity for their engagement in European society.

     

    A measure of his popularity was found in the lively Q&A session that followed his talk and the group of, mostly young, admirers, who besieged him at the tea that followed. Widely read in India, Ramadan is the author of 15 books on Islam, most readable among them if the biography of the Prophet, In the Footsteps of the Prophet : Lessons from the Life of Muhammad. His other books include Western Muslims and the future of Islam and To Be a European Muslim., Islam, the West, and the Challenge of Modernity.

     

    Ramadan has taught Religion and Philosophy at the University of Fribourg and the College de Saussure, Geneva and later at St Anthony’s College, Oxford. In September 2005 he was invited to join a task force by the Government of UK. He is also guest professor of Identity and Citizenship at Erasmus University, Rotterdam and an advisor to the EU on religious issues.

     

    He was introduced to the audience by JMI vice-chancellor Prof. Mushirul Hasan.

     

    Addressing the audience, Ramadan said he had been among Christians for a number of years in order to comprehend this topical theme and traversed the space from experience to the text (Qur’an) and, then, it dawned upon him what he was going to convey.

     

    Ramadan said we should admit that we can commit mistakes in understanding the text, whether from Qur’an or from Bible, and that whatever the Jews and Christians opine about us that ideology is based on their reading of Torah and Bible. He said usually we compare our ideals with others’ reality which is not correct, though we can compare our text with others’ text, our values with others’ values and our situation with others’ situation. He advised that we should study history because it makes a man humble and deepens the understanding of a mind. Knowing history we can understand the text properly, saying that all religions may be great or may not be so.

     

    Ramadan said dialogue requires understanding other peoples’ psyche because we cannot understand other people without understanding it. Referring to truce of Hudaibiyyah, he said the Prophet of Islam (S.A.W.) was adept in understanding peoples’ psyche and their nature. He said we need to admit the mental trauma caused to others and ourselves as well as the excesses committed in past so that the dialogue may proceed. Citing the period of Ottoman Empire as an example, he said we should admit that the non-Muslim were required in that period to wear a particular type of dress and that excesses were committed against Ahl-e-Zimmah (non-Muslims living in a Muslim country).

     

    He said three things are essential for a dialogue : intellectual empathy, deep faith and rationality and spirituality. He said it may be incorrect to ask any person to observe veil, it is equally wrong for a state to force anyone to not observe veil. He said the first thing required for coming out of the present situation is humility, education, self-knowledge and patient ears for others. Second point is dialogue that requires removing non-confidence from the mind of the other partner of dialogue. Third point is recognizing that all points are important and the fourth one is attachment of scholars participating in the dialogue with their own community. He said the last condition is working together and this requires respecting others’ nature and dignity as well as sense of justice.

     

    SOURCE : Indian Muslims

    http://www.tariqramadan.com/spip.php?article10291


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    Dimanche 14 septembre 2008

    Image:Hattin.jpg
    http://fr.wikipedia.org/wiki/Image:Hattin.jpg

    Benoît XVI en Turquie

    Le spectre des croisades

    Le pape veut délivrer un message de paix mais sans renoncer à ses critiques sur la violence de l’islam.

    Saura-t-il éviter le piège du « choc des religions » ?

     

     

    Bien avant de quitter le Vatican, Benoît XVI savait que son voyage ne serait pas de tout repos. Il y a une semaine, le 22 novembre, une centaine de « loups gris » occupaient l’église Sainte-Sophie pour protester contre sa venue. Au même moment, la formation islamiste Saadet mais aussi des nationalistes anti-européens décidaient de manifester au moment de sa visite à l’appel de : « Non au pape. Allah seul est grand » ; « Non aux croisés » ; « Ce pape faux et ignorant n’est pas le bienvenu ». Nul doute que le pape avait aussi en mémoire, avant de s’envoler vers l’ancienne Constantinople, la tentative d’assassinat contre le pape Jean-Paul II en 1981. L’homme qui avait voulu l’abattre était un « loup gris » turc nommé Mehmet Ali Agça.

    Malgré tout, le souverain pontife a maintenu son voyage. Ce déplacement, explique-t-on au Saint-Siège, était programmé de longue date. Comme une démarche anodine : le chef des catholiques, jadis baptisé « patriarche d’Occident », devait tout simplement se rendre à Cons-tantinople pour rencontrer son homologue orthodoxe Bartholomée Ier, patriarche de cette ville et appelé autrefois « patriarche d’Orient ». Titre évidemment disproportionné puisque les orthodoxes en Turquie représentent seulement 32 000 âmes. Benoît XVI tenait pourtant à cette reprise du dialogue (le schisme entre les deux Eglises remonte à 1054 !), amorcée par son prédécesseur Jean-Paul II. Et les diplomates du Saint-Siège se réjouissaient en imaginant la photo officielle des deux « patrons » des deux Eglises dissidentes depuis près d’un millénaire.

     


    Mais un vrai frisson a commencé à parcourir les chancelleries occidentales après la « gaffe de Ratisbonne » du 12 septembre : Benoît XVI avait alors déploré l’utilisation de « l’épée » par Mahomet pour imposer sa religion. Malgré les mille regrets et mille démarches vaticanes qui ont tenté par la suite d’atténuer le coup fatal porté au dialogue avec l’islam, un ressentiment est resté. En Turquie spécialement, à 99% musulmane, où une partie de la population voit l’arrivée du souverain pontife comme une provocation, à quelques mois des élections, et où les islamistes modérés à la Erdogan sont mis au pied du mur par les extrémistes. D’ailleurs l’alliance entre les « nationalistes » anti-européens du Parti de la Grande Union et les fanatiques de Saadet, qui ont appelé à manifester ensemble contre le pape, n’est pas un rapprochement dangereux seulement pour le sort électoral de Recep Erdogan mais aussi pour l’avenir de la négociation sur l’entrée de la Turquie en Europe. Benoît XVI est donc dans un imbroglio politique qui n’a pas grand-chose à voir avec sa fonction religieuse. On pourrait presque dire que sous sa houlette et, sans qu’il l’ait voulu explicitement, son magistère tend de plus en plus à ressembler au magistère des imams, qui, eux, ont toujours mélangé le religieux et le politique.
    …
    La curie continue de soutenir qu’elle a confiance dans la capacité des autorités turques à maîtriser l’ordre public. « Il ne faut pas surévaluer ces épisodes d’intolérance », souligne le porte-parole du pape, padre Lombardi. Benoît XVI ne verra aucune autorité politique (le Premier ministre, le ministre des Affaires étrangères et celui des Affaires religieuses ont boycotté son voyage). Les organisateurs ont tout fait pour lui éviter les contacts avec la foule. Jusqu’à la fin du périple, il devrait se contenter de passer en voiture blindée dans une Istanbul déserte.

     


    Reste une inconnue. Quelles seront les réactions en Turquie et ailleurs face aux propos tenus par le pape ? Certes, il enrobera ses propos, mais le fond de son discours (en particulier sur la violence) restera le même. « Il plaidera en fait pour le dialogue, j'en suis sûr, dit pourtant le cardinal Achille Silvestrini, dans la lignée de Jean-Paul II. » Mais le « pape polonais » avait l’art de mettre à l’aise ses interlocuteurs, avec sa grande chaleur, sa communicabilité et sa gestualité. Même si les résultats ne furent pas à la hauteur de ses efforts. Le « pape allemand », lui, n’a ni chaleur ni communicabilité, et pratique l’art subtil de mettre les points sur les « i ». De dire donc ce qu’il croit. Or il croit sincèrement que les conditions du dialogue avec l’islam, même s’il faudra des siècles pour y parvenir, exigent le renoncement préalable à toute violence.

    Peut-être ne se rend-il pas vraiment compte que les temps historiques, et non bibliques, que nous vivons risquent de l’impliquer dans une espèce de croisade. Qui est en plus une aubaine pour les fondamentalistes islamiques anti-européens.

     

     

    Marcelle Padovani
    Le Nouvel Observateur

    http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2195/dossier/a325746-le_spectre_des_croisades.html


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    Dimanche 14 septembre 2008

     


    http://www.tariqramadan.com/spip.php?article988#forum32214


    A tous les "Grands Chefs"
    (Sagesse indienne)

    par le Chef Seattle


    Ce discours serait la réponse du Chef Seattle en 1854 au gouvernement américain qui lui proposait d’abandonner sa terre aux blancs et promettait une réserve pour le peuple indien.

     

     

     

    Ce texte serait un faux... à méditer tout de même

     

     

     

     

     

    « Le Grand Chef de Washington nous a fait part de son désir d’acheter notre terre.
     Le Grand Chef nous a fait part de son amitié et de ses sentiments bienveillants. Il est très généreux, car nous savons bien qu’il n’a pas grand besoin de notre amitié en retour. 

     

     

     

    Cependant, nous allons considérer votre offre, car nous savons que si nous ne vendons pas, l’homme blanc va venir avec ses fusils et va prendre notre terre. 

     

     

    . Mais peut-on acheter ou vendre le ciel, la chaleur de la terre ? Etrange idée pour nous !
     Si nous ne sommes pas propriétaires de la fraîcheur de l’air, ni du miroitement de l’eau, comment pouvez-vous nous l’acheter ? 

     Le moindre recoin de cette terre est sacré pour mon peuple. Chaque aiguille de pin luisante, chaque grève sablonneuse, chaque écharpe de brume dans le bois noir, chaque clairière, le bourdonnement des insectes, tout cela est sacré dans la mémoire et la vie de mon peuple. La sève qui coule dans les arbres porte les souvenirs de l’homme rouge. 

     Les morts des hommes blancs, lorsqu’ils se promènent au milieu des étoiles, oublient leur terre natale. Nos morts n’oublient jamais la beauté de cette terre, car elle est la mère de l’homme rouge ; nous faisons partie de cette terre comme elle fait partie de nous.   

    Les fleurs parfumées sont nos sœurs, le cerf, le cheval, le grand aigle sont nos frères ; les crêtes des montagnes, les sucs des prairies, le corps chaud du poney, et l’homme lui-même, tous appartiennent à la même famille.

     Ainsi, lorsqu’il nous demande d’acheter notre terre, le Grand Chef de Washington exige beaucoup de nous. 

     Le Grand Chef nous a assuré qu’il nous en réserverait un coin, où nous pourrions vivre confortablement, nous et nos enfants, et qu’il serait notre père, et nous ses enfants.
     Nous allons donc considérer votre offre d’acheter notre terre, mais cela ne sera pas facile, car cette terre, pour nous, est sacrée

     L’eau étincelante des ruisseaux et des fleuves n’est pas de l’eau seulement ; elle est le sang de nos ancêtres. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir qu’elle est sacrée, et vous devrez l’enseigner à vos enfants, et leur apprendre que chaque reflet spectral de l’eau claire des lacs raconte le passé et les souvenirs de mon peuple. Le murmure de l’eau est la voix du père de mon père.

     Les fleuves sont nos frères ; ils étanchent notre soif. Les fleuves portent nos canoës et nourrissent nos enfants. Si nous vous vendons notre terre, vous devrez vous souvenir que les fleuves sont nos frères et les vôtres, et l’enseigner à vos enfants, et vous devrez dorénavant leur témoigner la bonté que vous auriez pour un frère.

    L’homme rouge a toujours reculé devant l’homme blanc, comme la brume des montagnes s’enfuit devant le soleil levant. Mais les cendres de nos pères sont sacrées. Leurs tombes sont une terre sainte ; ainsi, ces collines, ces arbres, ce coin de terre sont sacrés à nos yeux. Nous savons que l’homme blanc ne comprend pas nos pensées. Pour lui, un lopin de terre en vaut un autre, car il est l’étranger qui vient de nuit piller la terre selon ses besoins. Le sol n’est pas son frère, mais son ennemi, et quand il l’a conquis, il poursuit sa route. Il laisse derrière lui les tombes de ses pères et ne s’en soucie pas.

     

     Vous devez enseigner à vos enfants que la terre, sous leurs pieds, est faite des cendres de nos grands-parents. Afin qu’ils la respectent, dites à vos enfants que la terre est riche de la vie de notre peuple. Apprenez à vos enfants ce que nous apprenons à nos enfants, que la terre est notre mère. Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. Lorsque les hommes crachent sur la terre, ils crachent sur eux-mêmes.

    Nous le savons : la terre n’appartient pas à l’homme, c’est l’homme qui appartient à la terre. Nous le savons : toutes choses sont liées comme le sang qui unit une même famille. Toutes choses sont liées.


     Tout ce qui arrive à la terre arrive aux fils de la terre. L’homme n’a pas tissé la toile de la vie, il n’est qu’un fil de tissu. Tout ce qu’il fait à la toile, il le fait à lui-même.


     Mais nous allons considérer votre offre d’aller dans la réserve que vous destinez à mon peuple. Nous vivrons à l’écart et en paix. Qu’importe où nous passerons le reste de nos jours. Nos enfants ont vu leurs pères humiliés dans la défaite. Nos guerriers ont connu la honte ; après la défaite, ils coulent des jours oisifs et souillent leur corps de nourritures douces et de boissons fortes. Qu’importe où nous passerons le reste de nos jours ? Ils ne sont plus nombreux. Encore quelques heures, quelques hivers, et il ne restera plus aucun des enfants des grandes tribus qui vivaient autrefois sur cette terre, ou qui errent encore dans les bois, par petits groupes ; aucun ne sera là pour pleurer sur les tombes d’un peuple autrefois aussi puissant, aussi plein d’espérance que le vôtre. Mais pourquoi pleurer sur la fin de mon peuple ? Les tribus sont faites d’hommes, pas davantage. Les hommes viennent et s’en vont, comme les vagues de la mer. 
     Même l’homme blanc, dont le Dieu marche avec lui et lui parle comme un ami avec son ami, ne peut échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères malgré tout ; nous verrons. Mais nous savons une chose que l’homme blanc découvrira peut-être un jour : notre Dieu est le même Dieu. Vous avez beau penser aujourd’hui que vous le possédez comme vous aimeriez posséder notre terre, vous ne le pouvez pas. Il est le Dieu des hommes, et sa compassion est la même pour l’homme rouge et pour l’homme blanc. 

    La terre est précieuse à ses yeux, et qui porte atteinte à la terre couvre son créateur de mépris. Les blancs passeront, eux aussi, et peut-être avant les autres tribus. Continuez à souiller votre lit, et une belle nuit, vous étoufferez dans vos propres déchets.


     Mais dans votre perte, vous brillerez de feux éclatants, allumés par la puissance du Dieu qui vous a amenés dans ce pays, et qui, dans un dessein connu de lui, vous a donné pouvoir sur cette terre et sur l’homme rouge. Cette destinée est pour nous un mystère ; nous ne comprenons pas lorsque tous les buffles sont massacrés, les chevaux sauvages domptés, lorsque les recoins secrets des forêts sont lourds de l’odeur d’hommes nombreux, l’aspect des collines mûres pour la moisson est abîmé par les câbles parlants.


     Où est le fourré ? Disparu. Où est l’aigle ? Il n’est plus. Qu’est-ce que dire adieu au poney agile et à la chasse ? C’est finir de vivre et se mettre à survivre.


     Ainsi donc, nous allons considérer votre offre d’acheter notre terre. Et si nous acceptons, ce sera pour être bien sûrs de recevoir la réserve que vous nous avez promise. Là, peut-être, nous pourrons finir les brèves journées qui nous restent à vivre selon nos désirs. Et lorsque le dernier homme rouge aura disparu de cette terre, et que son souvenir ne sera plus que l’ombre d’un nuage glissant sur la prairie, ces rives et ces forêts abriteront encore les esprits de mon peuple. Car ils aiment cette terre comme le nouveau-né aime le battement du cœur de sa mère. Ainsi, si nous vous vendons notre terre, aimez-la comme nous l’avons aimée. Prenez soin d’elle comme nous en avons pris soins.


     Gardez en mémoire le souvenir de ce pays, tel qu’il est au moment où vous le prenez. Et de toute votre force, de toute votre pensée, de tout votre cœur, préservez-le pour vos enfants et aimez-le comme Dieu vous aime tous.
     Nous savons une chose : notre Dieu est le même Dieu. Il aime cette terre. L’homme blanc lui-même ne peut pas échapper à la destinée commune. Peut-être sommes-nous frères, nous verrons. »



    http://www.tariqramadan.com/spip.php?article988#forum32214

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    Dimanche 14 septembre 2008

     

     






    Israël : La paix maintenant va entamer une campagne pour la formation d'un ''gouvernement...

     

    Il y a 12 heures - Guysen Israel News
     
     
     
    Israël : La paix maintenant va entamer une campagne pour la formation d'un ''gouvernement de paix''. L'ONG d'extrême gauche aspire à la création d'un cabinet composé de Kadima, du Parti travailliste, des retraités et de Meretz, qui pourra mener à bien les négociations de paix avec les Palestiniens et la Syrie....

     

    Articles connexes

     


    http://www.juif.org/politique-israel/65780,israel-la-paix-maintenant-va-entamer-une-campagne-pour-la-formation.php


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    Dimanche 14 septembre 2008

     

     

     Cette catégorie
    Culture et Tolérance
    "

     est l'occasion de connaître pour mieux se reconnaître
    et au bout du compte s'accepter. Que nous soyons croyants ou non-croyants, chrétiens, juifs, musulmans, bouddhistes,...,  athées, agnostiques,..., le principal est de pouvoir Vivre Ensemble.
    Ce sera l'âme de cette rubrique.
    Et commençons par l'actualité du moment, le Ramadân.
    Cet événement religieux qui touche plus d'un milliard d'humains mérite d'être connu pour mieux se comprendre.

     

    Ramadân
     رَمَضَان

     

     

        Le Ramadân est le neuvième mois du calendrier lunaire islamique. C'est un des cinq piliers de l'islam avec la profession de Foi en Allah, la prière, le pèlerinage Hajj, et l'aumône Zakât.

        La période du Ramadân est une période pour les musulmans de jeûne, le Swan en arabe qui dure un mois. C'est un engagement spirituel entre Dieu et tout croyant musulman afin d'éprouver sa foi religieuse. Entre le lever et le coucher du soleil, le croyant s'engage à ne pas manger, ni boire, ni avoir de rapports sexuels, ni fumer, ... Il se donne entièrement à sa foi et ne doit pas se mettre en colère, ni jurer. Il utilise ces moments de jeûne pour penser et prier pour les personnes souffrant de malnutrition. C'est une période de recueillement, de compassion envers les personnes les plus pauvres.

        Le premier jour du Ramadân n'est pas le même pour tous, selon là où les musulmans se situent soit ils observent la lune, lorsque le croissant de lune est aperçu ou soit ils se fient à un calcul précis , après le trentième jour du mois de Châban.

        Le Sahur,le premier repas est servi avant l'aube et l'Iftar à la rupture du jeûne. Le 27éme jour du Ramadân Laylat al-Qadr la Nuit du Destin, est très important pour les musulmans car c'est le jour ou le Coran a été révélé au prophète Mouhammad ou Mahomet. L'Aïd-al-Fitr est le dernier jour du Ramadân.

        Le  jeûne dans la Foi n'est pas une obligation que chez les musulmans. Moussa chez les musulmans ou Moïse chez les juifs, Aïsa chez les musulmans ou Jésus chez les chrétiens étaient des prophètes et avaient l'habitude de jeûner 40 jours.

    Comme quoi l'histoire religieuse continue et se poursuit.

     




    Fin de Jeûne: La Chorba.

    La Chorba est une soupe très parfumée et revigorante.

     

    Ingrédients

     

    1 cuillère à soupe d'huile d'olive
    200 grammes de viande de mouton coupée en dés.
    1 gros oignon ou 2 petits
    1 petit verre de pois chiches mis à tremper la veille.
    200 grammes de pommes de terre
    2 carottes
    2 courgettes
    2 branches de céleri
    De la coriandre fraiche
    1 cuillère à soupe et demi de concentré de tomates
    1 pincée de piments doux
    Sel, poivre
    100 grammes de vermicelle
    1 pincée de sel
    1 petite pincée de poivre

     

    Préparation :


    Faire revenir l'oignon émincé dans l'huile. Puis rajouter les morceaux de viande et les faire dorer sur tous les côtés en remuant bien. Diluer le concentré de tomates dans un peu d'eau et ajouter. Ajouter un petit bouquet de coriandre. Ajouter un litre et demi d'eau, amener à ébullition. Ajouter le sel, le poivre et les piments doux, puis les pois chiches, le céleri, les carottes et les courgettes coupés en petits dés. Mettre un couvercle et faire cuire à feu doux pendant une demi-heure. 5 minutes avant de servir, jetez les vermicelles dans la soupe

     

    On peut aussi rajouter des navets comme légumes et une pointe de safran comme épices

    Bon appétit - Saha Ftourkoum - Bsahatkoum

    http://www.journal-d-un-trentenaire.com/10-index.html


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