•  
     
    Dimanche 14 septembre 2008

     

     






    Israël : La paix maintenant va entamer une campagne pour la formation d'un ''gouvernement...

     

    Il y a 12 heures - Guysen Israel News
     
     
     
    Israël : La paix maintenant va entamer une campagne pour la formation d'un ''gouvernement de paix''. L'ONG d'extrême gauche aspire à la création d'un cabinet composé de Kadima, du Parti travailliste, des retraités et de Meretz, qui pourra mener à bien les négociations de paix avec les Palestiniens et la Syrie....

     

    Articles connexes

     


    http://www.juif.org/politique-israel/65780,israel-la-paix-maintenant-va-entamer-une-campagne-pour-la-formation.php


    votre commentaire
  •  
     
    Dimanche 14 septembre 2008

     

     

     Cette catégorie
    Culture et Tolérance
    "

     est l'occasion de connaître pour mieux se reconnaître
    et au bout du compte s'accepter. Que nous soyons croyants ou non-croyants, chrétiens, juifs, musulmans, bouddhistes,...,  athées, agnostiques,..., le principal est de pouvoir Vivre Ensemble.
    Ce sera l'âme de cette rubrique.
    Et commençons par l'actualité du moment, le Ramadân.
    Cet événement religieux qui touche plus d'un milliard d'humains mérite d'être connu pour mieux se comprendre.

     

    Ramadân
     رَمَضَان

     

     

        Le Ramadân est le neuvième mois du calendrier lunaire islamique. C'est un des cinq piliers de l'islam avec la profession de Foi en Allah, la prière, le pèlerinage Hajj, et l'aumône Zakât.

        La période du Ramadân est une période pour les musulmans de jeûne, le Swan en arabe qui dure un mois. C'est un engagement spirituel entre Dieu et tout croyant musulman afin d'éprouver sa foi religieuse. Entre le lever et le coucher du soleil, le croyant s'engage à ne pas manger, ni boire, ni avoir de rapports sexuels, ni fumer, ... Il se donne entièrement à sa foi et ne doit pas se mettre en colère, ni jurer. Il utilise ces moments de jeûne pour penser et prier pour les personnes souffrant de malnutrition. C'est une période de recueillement, de compassion envers les personnes les plus pauvres.

        Le premier jour du Ramadân n'est pas le même pour tous, selon là où les musulmans se situent soit ils observent la lune, lorsque le croissant de lune est aperçu ou soit ils se fient à un calcul précis , après le trentième jour du mois de Châban.

        Le Sahur,le premier repas est servi avant l'aube et l'Iftar à la rupture du jeûne. Le 27éme jour du Ramadân Laylat al-Qadr la Nuit du Destin, est très important pour les musulmans car c'est le jour ou le Coran a été révélé au prophète Mouhammad ou Mahomet. L'Aïd-al-Fitr est le dernier jour du Ramadân.

        Le  jeûne dans la Foi n'est pas une obligation que chez les musulmans. Moussa chez les musulmans ou Moïse chez les juifs, Aïsa chez les musulmans ou Jésus chez les chrétiens étaient des prophètes et avaient l'habitude de jeûner 40 jours.

    Comme quoi l'histoire religieuse continue et se poursuit.

     




    Fin de Jeûne: La Chorba.

    La Chorba est une soupe très parfumée et revigorante.

     

    Ingrédients

     

    1 cuillère à soupe d'huile d'olive
    200 grammes de viande de mouton coupée en dés.
    1 gros oignon ou 2 petits
    1 petit verre de pois chiches mis à tremper la veille.
    200 grammes de pommes de terre
    2 carottes
    2 courgettes
    2 branches de céleri
    De la coriandre fraiche
    1 cuillère à soupe et demi de concentré de tomates
    1 pincée de piments doux
    Sel, poivre
    100 grammes de vermicelle
    1 pincée de sel
    1 petite pincée de poivre

     

    Préparation :


    Faire revenir l'oignon émincé dans l'huile. Puis rajouter les morceaux de viande et les faire dorer sur tous les côtés en remuant bien. Diluer le concentré de tomates dans un peu d'eau et ajouter. Ajouter un petit bouquet de coriandre. Ajouter un litre et demi d'eau, amener à ébullition. Ajouter le sel, le poivre et les piments doux, puis les pois chiches, le céleri, les carottes et les courgettes coupés en petits dés. Mettre un couvercle et faire cuire à feu doux pendant une demi-heure. 5 minutes avant de servir, jetez les vermicelles dans la soupe

     

    On peut aussi rajouter des navets comme légumes et une pointe de safran comme épices

    Bon appétit - Saha Ftourkoum - Bsahatkoum

    http://www.journal-d-un-trentenaire.com/10-index.html


    votre commentaire
  •  
     
    Samedi 13 septembre 2008

    13/09/08


    Le Pape en France. Religions du Livre.
    Les racines culturelles de l'Europe,
    par Luc Collès

     

    Le voyage du Pape en France est l'occasion d'évoquer "les héritages culturels, religieux et humanistes de l'Europe".

     

    Cet article présente des arguments en faveur d'une explicitation des héritages culturels, religieux et humanistes de l'Europe, qui fondent les valeurs que celle-ci entend promouvoir. En reconnaissant en particulier sa dette culturelle à l'égard des trois religions du Livre, l'Europe, qui se réclame de son expérience historique pour développer chez elle un espace multiculturel et multilatéral, manifesterait son approche sereine du passé et sa conviction que la connaissance de celui-ci n'hypothèque en rien l'avenir. En outre, en affirmant que les trois religions du Livre sont constitutives de la culture européenne, elle exprimerait son souhait que, à titre programmatique, on se préoccupe davantage de l'inculture des jeunes, due en partie à l'ignorance des traditions religieuses, pour que, prenant conscience de la richesse de notre héritage, chacun puisse se l'approprier individuellement et collectivement dans un esprit d'ouverture à l'altérité.

    En visite officielle à Rome l'hiver dernier, Nicolas Sarkozy avait insisté sur les racines chrétiennes de la France. Son attitude avait suscité beaucoup de critiques du côté laïque. La visite du pape Benoît XVI ce week-end et son plaidoyer pour une laïcité ouverte ranime le débat sur la laïcité. Certains réaffirment l'idée selon laquelle toute référence à une religion serait en contradiction avec des législations nationales qui prévoient la séparation des Etats et des confessions.

    Attitude surprenante dans un pays, la France, où, en 1996, la réforme décidée par le ministre de l'Education nationale, François Bayrou, engageait l'introduction de la culture religieuse dans les programmes du collège et du lycée. Deux objectifs étaient alors particulièrement visés : un meilleur accès au patrimoine culturel européen et une prise en compte de l'aspect multiculturel et religieux de la société française. De même, en novembre 2001, le ministre de l'Education nationale, Jack Lang, sollicitait le philosophe Régis Debray pour la rédaction d'un rapport sur L'enseignement du fait religieux dans l'école laïque. A la base de ces préoccupations, il y avait un constat navrant : aujourd'hui, l'inculture religieuse des jeunes est telle que des pans entiers de notre patrimoine ne sont plus reconnus, décodés, compris. Ainsi voit-on des enfants confondre une Vierge de Botticelli avec une simple " meuf ".

    Contre toute forme d'amnésie, je souhaiterais rappeler que les héritages de l'Europe ont été d'abord nourris par les civilisations grecque et romaine, ensuite marqués par les religions du Livre et par les courants philosophiques des Lumières et du Romantisme. Car il me paraît essentiel d'ancrer les valeurs que l'Europe prétend défendre dans le terreau fertile de l'histoire qui les a constituées, une histoire dont on ne saurait sélectionner les données pour gérer le présent et pour construire l'avenir.

    Il ne s'agit donc pas de vouloir se référer à une transcendance, ce qui " correspond à la manière philosophique de concevoir un 'Absolu' immatériel et transcendant, 'délié' des contingences de l'histoire ", représentation qui, selon Philippe Bacq (« Nommer Dieu ? » dans La Revue Nouvelle de février 2003), serait sous-jacente à la requête des Eglises et qui conduirait à l'exclusion de la différence dans une société sécularisée. Il s'agit plutôt d'évoquer brièvement les événements historiques qui ont contribué à forger la culture et les valeurs européennes et qui déterminent aujourd'hui un espace de significations marqué par le pluralisme.

    Rappelons d'abord l'importance de la connaissance du passé pour comprendre les civilisations et le système de valeurs et de références qu'elles développent. Comme le faisait remarquer une de mes collègues, Clémentine Faïk-Nzuji, à propos de l'Afrique, " si nous admettons que le thérapeute remonte à la petite enfance du patient pour y déceler les causes de ses traumatismes, nous devrions de même admettre que pour une société humaine, c'est dans son histoire, qui couvre plusieurs générations, qu'il faut rechercher les causes de ses déséquilibres " et  j'ajouterai " de ses réussites ". Une telle connaissance doit donc être aussi complète que possible et porter aussi bien sur les zones d'ombre que sur les zones de lumière. Les exemples qui illustrent ce type de démarche ne manquent pas. Ainsi, l'Allemagne a accepté de revisiter son passé et de faire contrition pour les crimes commis sous le nazisme, ce qui en a fait un partenaire honorable et honoré de l'aventure européenne. La connaissance du passé tel qu'il est devient de cette manière un facteur d'apaisement, pourvu toutefois qu'elle s'établisse dans des conditions sereines : il ne convient pas que le thérapeute se transforme en justicier et accable son patient de reproches au moment où celui-ci accepte de se confronter à sa fragilité ! C'est pourquoi on comprend mal la dérision dont ont parfois fait l'objet les actes de repentance exprimés par le pape Jean-Paul II à l'égard du peuple juif, des protestants et des scientifiques symbolisés par Galilée, alors que, par ce biais, l'Eglise catholique admettait n'avoir pas été toujours à la hauteur des valeurs dont elle s'affirmait dépositaire.

    En second lieu, il importe de souligner que, nonobstant l'usage ou, en l'occurrence, le non-usage, qui en est fait, l'histoire n'est pas vouée au service de la morale - les " leçons de l'histoire " sont rarement écoutées -, à l'édification du Prince ou à la promotion des idéologies et des intérêts; elle ne doit pas être confondue avec les reconstructions de la mémoire qui entretiennent avec le passé une relation affective et militante et il ne lui revient pas de sélectionner dans le passé qu'elle reconstitue les éléments dont la signification sera revue en fonction des exigences du temps présent. Au contraire, l'histoire se veut responsable d'un savoir " scientifique ", c'est-à-dire universellement acceptable, dans la mesure où elle est régie par " la possibilité d'établir un ensemble de règles permettant de contrôler des opérations proportionnées à la production d'objets déterminés ", pour reprendre les termes de Michel de Certeau. Elle est en même temps consciente des limites de son objectivité : les choix de l'historien pèsent inévitablement sur la définition de la matière à analyser, sur les critères utilisés, sur les interprétations qui sont avancées ; aussi peut-on affirmer avec Alexandre Faivre que " l'objectivité en histoire est le fruit d'intersubjectivités partagées, corrigées et rectifiées ".

    Le rôle des religions du Livre dans l'élaboration de valeurs fondatrices de l'Europe - importance de l'individu, égalité, justice, mise à distance du sacrifice -, fait partie de l'histoire de l'Europe, comme en font partie la Renaissance, qui, à travers une relecture des auteurs antiques, a distingué les domaines du sacré et du profane, et les Lumières qui ont laïcisé les valeurs d'égalité des personnes, de liberté, de respect de la raison, de justice. Ces étapes de notre cheminement méritent dès lors d'être reconnues, car elles n'impliquent aucune restauration d'un ordre ancien. L'évocation de la valeur patrimoniale des trois religions du livre ne constitue en rien une apologie de celles-ci. En revanche, l'identité européenne n'est pas compréhensible si on ne tient pas compte de la révélation monothéiste qui se produisit au Moyen Orient. Les religions révélées n'ont pas cessé de diffuser en Europe la foi dans le Créateur et, parallèlement, ont agi comme un ferment civilisateur. Elles ont ainsi contribué à la naissance de cultures très riches dans chacune des nations européennes où elle ont été présentes. Dans sa Grammaire des Civilisations, Fernand Braudel a bien montré que le christianisme a été et reste une des composantes majeures de la pensée européenne, et même de la pensée rationaliste qui s'est constituée contre lui et à partir de lui. Athée, un Européen est encore tributaire d'une éthique et de comportements psychiques puissamment enracinés dans une tradition chrétienne.

    Largement diffusé dans l'Empire romain, le christianisme en est devenu la religion officielle trois siècles après la naissance du Christ. Au moment des grandes migrations germaniques des IVe-VIIIe siècles, il s'affirme comme la civilisation du monde antique qu'il a assumée. Du Xe au XIIIe siècle, l'Eglise entière est entraînée par un mouvement puissant qui est aussi celui de la poussée économique, de la montée sociale d'une Europe active. Après la guerre de Cent Ans, qui a constitué un repli brutal sur tous les plans, les XVIe et XVIIe siècles vont vivre sous le signe de passions religieuses et de querelles spirituelles. Au XVIIIe siècle, l'élan matériel accompagne un mouvement scientifique et philosophique qui se dresse contre l'Eglise, au nom du progrès et de la raison.

    Mais, même à partir de ce moment, la pensée européenne ne se conçoit que dans le cadre d'un dialogue avec le christianisme. Cette perspective est essentielle pour la compréhension de l'humanisme, aspect fondamental de la civilisation occidentale. Orientée à la fois vers l'étude et l'action, cette forme d'éthique exalte la grandeur du génie humain et la puissance de ses créations. Dès ce moment, la foi éventuelle doit s'accommoder de la confiance en l'homme. La Renaissance s'écarte du christianisme du Moyen Age en ce sens que, désormais, c'est sur la terre que l'homme doit organiser son royaume. Pour reprendre les termes de Nietzsche, cette conviction nouvelle préside à la mise en place de toutes les forces positives de la culture moderne : libération de la pensée, victoire de la formation intellectuelle sur le privilège de la naissance, enthousiasme pour la science, délivrance de l'individu.

    C'est dans ce climat que la Réforme s'oriente vers le droit au libre examen et la critique historique des textes sacrés. C'est aussi l'esprit humaniste qui est à la base de la Révolution française, la seule à avoir eu un sens européen et mondial, avant la Révolution russe de 1917. Aujourd'hui encore, cet humanisme donne à l'Européen une attitude d'ouverture à l'universel avec une vision intégrale de l'homme dans un climat de liberté et de coopération entre créateurs, qu'il s'agisse de responsables religieux, d'artistes, de chercheurs scientifiques, d'artisans ou de simples citoyens. Pour les chrétiens, cet humanisme n'est nullement incompatible avec leur foi puisque c'est en raison du fait qu'il a été créé à l'image de Dieu que l'homme est appelé à transcender l'univers en devenant créateur à son tour.

    De même, le judaïsme n'est pas seulement une religion, c'est aussi une culture. Les juifs, notamment en Allemagne, ne restèrent pas indifférents à l'humanisme et à la Réforme ; en Italie, ils participèrent à la Renaissance. Spinoza et certains marranes remirent en cause l'édifice du judaïsme rabbinique. C'est sur cet arrière-plan de crise que le judaïsme européen allait voir le jour, sous la houlette de Mendelssohn. Le judaïsme est devenu une religion d'Europe après avoir reçu le legs spirituel et intellectuel de l'hellénisme ; il put, dans ces conditions, maintenir et développer sa tradition philosophique médiévale jusqu'à l'époque moderne.

    Quant à l'islam, c'est par une révolution culturelle qu'il a pénétré en Europe. L'Espagne du IXe au XIIIe siècle a pu réaliser la féconde symbiose des trois cultures : juive, chrétienne et musulmane. A l'université de Cordoue s'élabora, pour toute l'Europe, la science moderne, expérimentale et mathématique. Alain de Libera (Le monde diplomatique, juillet 2002) a souligné l'occultation des sources arabes de la pensée européenne, qui, selon lui, est l'effet d'un discours xénophobe qui cherche à faire croire que les Arabes ont été, sont et seront toujours étrangers à l'Occident : " Ce qui n'est jamais entré dans la culture occidentale latine ou chrétienne et qui reste scolairement et socialement occulté, c'est, par exemple, la philosophie politique, le laïcisme, le rationalisme réformateur de l'islam et de la pensée arabo-musulmane, dont les ancêtres sont, pourtant, des penseurs de l'Andalousie médiévale, comme Ibn Badjdja (Avempace), Ibn Toufayl (Aboubacer) ou Ibn Rouchd (Averroès) ». Si l'on souhaite construire " une société sécularisée, pluraliste, dans laquelle on déploierait une référence, non pas à une transcendance, mais à l'apport des religions, comme quelque chose d'ouvert et d'inachevé " il s'agit de reconnaître la place de l'islam non seulement dans l'histoire de l'Europe occidentale, mais aussi dans celle des Balkans, partie intégrante de l'empire ottoman du XVIe au XIXe siècle..

    En définitive, si je souhaite que les religions du Livre soient explicitement reconnues comme constitutives de la culture européenne, c'est pour que, à titre programmatique, on se préoccupe davantage de l'analphabétisme religieux des jeunes, mais aussi et surtout pour prévenir tout retour aux utopies rêvant " d'hommes nouveaux " privés de racines, ethttp://alainindependant.canalblog.com/archives/2008/09/13/10564274.html.

    Luc Collès -UCL et IFER de Dijon

    http://alainindependant.canalblog.com/archives/2008/09/13/10564274.html


    votre commentaire
  •  
     
    Samedi 13 septembre 2008






    Ce qu'en disent Jésus et Mahomet

    Pouvoir et violence

     


    Un combat biaisé !

    A ma droite, un guide spirituel ultrapacifique (« Aimez-vous les uns les autres ») au point de tendre « l'autre joue » (Mt 5, 38-45) et de se laisser crucifier à 33 ans pour le salut du monde.

    A ma gauche, un prophète qui se présente d’emblée comme chef d’Etat et chef de guerre.

    Le premier, en proclamant le fameux « rendez à César ce qui est à César et à Dieu ce qui est à Dieu » (Mt 22, 21), a clairement renoncé à la tentation du politique et n’a de prétention que la gouvernance des coeurs.

    Le second, administrateur d’une cité (Médine) et tacticien rompu aux pratiques alors courantes de la razzia et de la ruse bédouine, est un guide spirituel d’un tout autre genre. Pour le Prophète, à l’heure de la fondation de l’islam, la guerre (qitâl) est un mal nécessaire : « Le combat vous est prescrit alors que vous l’avez en aversion »
    (II, 216).

    De quoi alimenter la problématique de la « guerre sainte » (djihad, dont la version introspective – le « grand djihad » – aura moins de publicité).

    Pourtant le Coran ordonne de s'en tenir à une attitude défensive : « Combattez sur le chemin de Dieu ceux qui vous combattent et n'agressez point. Dieu n'aime pas les agresseurs » (sourate V).

    Il est tout aussi impératif de « risquer la paix », pour peu que les ennemis y semblent disposés : « S'ils virent de l'aile vers la paix, force à toi de virer de l'aile vers la paix. Et s'ils rusent pour te tromper, dis seulement : Dieu me suffit, Il est le meilleur des refuges. 

    Incompris le Prophète ?

     

     

    Marie Lemonnier
    Le Nouvel Observateur

    http://hebdo.nouvelobs.com/hebdo/parution/p2195/dossier/a325805-pouvoir_et_violence.html

     


    L'opinion d'Eva :



    Jésus
    a aussi fait des "saintes colères", par ex devant les marchands du Temple. Sainte violence, en quelque sorte !

    Par ailleurs, tendre l'autre joue n'est pas être passif. C'est désarmer l'autre, en lui expliquant le sens de la réponse. 

    Cela, c'est dans le Nouveau Testament.

    Dans l'Ancien, il y a partout des guerres terribles. Offensives !

    Islam : Quand j'ai lu le Coran, j'ai eu une impression de paix, de poésie.

    A mon sens, Mme Lemonnier n'explique pas suffisamment : Le djihad musulman, c'est d'abord la guerre contre soi, contre ses "mauvais penchants", un effort, donc.

    La guerre est défensive, dans l'Islam.

    Ceci n'engage que moi. C'est mon interprétation,

    Eva

     


    votre commentaire
  •  
     
    Samedi 13 septembre 2008
    L'Aurore, l'une des grandes figures poétiques du livre, son commencement et sa fin.
    L'Aurore, l'une des grandes figures poétiques du livre, son commencement et sa fin. Wikipedia.org



    ZARATHOUSTRA .
    ..ZARATHOUSTRA !!!

    Zarathoustra demeure le pionnier de toutes vie nouvelle lorsque l'homme agit en responsable de la création.

    Son oeuvre se déploie selon quatre thèmes fondamentaux :

    1)Une vision nouvelle de Dieu -monothéiste et source de grandeur

    2) Une vision nouvelle du monde, conçu comme le champ de bataille entre l'homme et ce qui s'oppose à son humanisation
     
    3) Une manière nouvelle de vivre les rapports avec le divin puisque les hommes ne communiquent plus avec les dieux par des rites ou des sacrifices sanglants mais rencontrent Dieu en eux-mêmes quand ils vivent divinement leur vie d'homme 
     
    4) Une maniére nouvelle de vivre les rapports avec la nature, en respectant toute vie, celle des animaux,  celle des végétaux - Paul du BREUIL, ZARATHOUSTRA, Ed Payot 1978

    Tout est dit dans ces quelques lignes extraites de l'ouvrage cité ci-dessus !!!

    Si ce n'est d'ajouter une notion importante pour  ZARATHOUSTRA : L'homme est responsable de l'univers entier !


    http://hadria.riviere.over-blog.com/ (superbe blog !)

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Ainsi_parlait_Zarathoustra

    votre commentaire