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    Mardi 5 août 2008

     

     

     

     

    http://laplote.over-blog.fr

     

      Vendus aux industriels de l'armement...

     

     

     




    Ouvrage à commander sur
      :
     
    http://www.abseditions.com/
    ou se procurer en librairie 
    Pour Annemasse : librairie "Majuscule" et "Place Média"


      



    http://anti-fr2-cdsl-air-etc.over-blog.com/article-21760559.html


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    Lundi 4 août 2008

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    www.courrierinternational.fr

    http://fr.images.search.yahoo.com/search/images?p=dialogue+avec+musulmans&y=Rechercher&fr=ush1-mail&ei=utf-8&js=1&x=wrt


    Intégrismes,
    fanatismes,
    fondamentalismes,
    communautarismes sectaires,
    choc de civilisations,
    guerres de religion,
    antisémitisme :
    Des abominations à dénoncer...

    J'ai ouvert ce blog parce que la perspective, abondamment et complaisamment relayée par des médias aux ordres, d'un choc de civilisations, m'est insupportable. Apparemment, mon initiative est sans précédent dans la blogosphère.

    On nous dresse les uns contre les autres ARTIFICIELLEMENT, pour le seul bénéfice des industriels de la mort et de la Haute Finance.

    Les néo-cons, haineux et va-t-en guerre,  qui prolifèrent dans les plus hautes sphères depuis que Bush est au pouvoir, impriment une tournure nauséabonde aux événements, aux politiques. En particulier, ils poussent à la guerre. Guerres hégémoniques, d'expansion, de domination. C'est intolérable pour les peuples.


    Or, le choc des civilisations, l'essor des intégrismes, représente un enjeu immense pour les relations internationales et la paix dans le monde. 

    Nous devons absolument nous opposer à la politique diabolique des néocons néo-libéraux et va-t-en guerre. Ne serait-ce qu'en informant, sans cesse. Comme je l'ai déjà dit sur mon blog
    http://r-sistons.over-blog.com, transformons-nous TOUS en journalistes, au travail, en famille, auprès de nos voisins ou de nos relations... on ne peut pas compter sur les Grands Médias. Eux sont aux mains des industriels de l'armement, pour notre malheur.

    Les intégrismes, les fanatismes, les fondamentalismes, quels qu'ils soient, chrétien, juif ou musulman, sont des abominations qu'il faut dénoncer sans relâche.





    L'antisémitisme, envers les Juifs comme envers les Musulmans, tous deux sémites, et ayant des origines communes, l'antisémitisme est une abomination. Parce que le racisme est une perversion des relations humaines. Nous sommes TOUS frères et soeurs en humanité, enfants du même Père céleste,  et citoyens du même monde.

    Aujourd'hui, d'ailleurs, l'islamophobie supplante le traditionnel racisme anti-juif. Sans bruit, sans être dénoncé, et cela aussi est intolérable. Tous les racismes se valent, ils sont aussi abominables les uns que les autres.

    L'anti-sémitisme est souvent instrumentalisé, utilisé à des fins politiques. Cela aussi est intolérable. La Shoah des Juifs ne doit pas être sacralisée, et prétexte à une fallacieuse chasse aux sorcières, où l'on confond trop facilement anti-sémitisme et dénonciation de la politique sioniste actuelle, hautement préjudiciable aux intérêts des peuples. 

    Moi-même, en tant qu'humaniste,  je suis farouchement opposée à toute forme d'antisémitisme, de racisme. D'ailleurs,  je ne colle pas d'étiquettes aux personnes : Je les respecte toutes, par contre je dénonce avec force certaines politiques, notamment l'américano-sioniste actuelle, parce que préjudiciables aux peuples, de régression sociale, barbares, inhumaines, militaristes, accentuant les inégalités déjà scandaleuses. Et je ne tolèrerai jamais que l'on assimile cette dénonciation politique, à un quelconque racisme ou anti-sémitisme.

    La liberté d'expression et d'opinion doit être scrupuleusement respectée, en démocratie. Elle n'est pas à géométrie variable. L'accusation fallacieuse d'anti-sémitisme peut tuer, briser des carrières, nuire à  des réputations. A tort. Je pense en particulier à un Préfet, à des journalistes, à des écrivains, à des hommes politiques, et même à l'Abbé Pierre, pourtant unaninement apprécié.
     A qui on a refusé la liberté d'opinion, tout en se taisant quand il s'agit de caricatures abjectes concernant le Prophète de l'Islam lui-même.


                                                                                                

     

     



     




















    De la même façon, nous devons résister à la tentation de chercher l'affrontement avc des personnes différentes de nous. La paix est le bien le plus précieux, les guerres ne résolvent rien, elles ne font que multiplier les problèmes, ou les amplifier, sauf pour les professionnels de la guerre. Eux devraient être traduits pour crime contre l'humanité, au lieu de se voir accorder des noms de rues, ou accueilli comme des VIP.

     

    Voilà les quelques précisions que je voulais vous livrer. A tous, qui que vous soyez, en toute fraternité.

    Cordialement, Eva

     





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    www.geneve.ch

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    Lundi 4 août 2008

     


    NOTRE MAISON

     


    Construire un lieu
    où niche la colombe
    et grandit l'olivier.
    Construire la maison
    où le musulman et le chrétien
    refont leurs forces
    pour que surgissent
    la justice et la paix.
        




    En 1995 un groupe de chrétiens et de musulmans, soucieux d'agir ensemble, créaient l'Association APPROCHES 92. Ils étaient animés d'une conviction : la parole ne suffit pas ; il faut agir ensemble. Que faire ? Il faudrait ouvrir « La Maison des croyants », disait Saâd. En réalité, ils trouvèrent deux locaux minuscules, à La Caravelle, une cité des Hauts de Seine, où ils accueillaient les enfants après l'école.
    Plus tard, les mamans eurent l'occasion de se rencontrer. Marocaines et Françaises, ensemble, apprenaient le tissage. A côté d'Approches 92, une «association soeur» voyait le jour : Mes-Tissages.
    Douze ans d'expériences ont fait naître une conviction : une page est à tourner. Il s'agit d'écrire un chapitre nouveau d'une histoire vieille de plus de dix ans ! Resurgit l'idée de Saâd au départ : construire une « maison islamo-chrétienne ».
    Certes, si on avait de l'argent, cette maison aurait des murs, des fenêtres et une porte. En attendant, la maison est ouverte aux quatre vents. En en parlant, nous disons notre volonté de rendre les quartiers et la société française réellement habitables. Musulmans et chrétiens s'y reconnaîtraient membres d'une même famille accueillante à tous.





    Le Coran et la Bible, sur un meuble de bois
    dans notre local

    Voir le site http://www.lamaisonislamochretienne.com/


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    Lundi 4 août 2008

    Accueil

    Congrès Mondial des
    Imams et Rabbins pour la Paix

    • en
    • fr



    Le Congrès Mondial des Imams et Rabbins pour la Paix

    «Le Congrès Mondial des Imams et Rabbins pour la Paix rassemble les imams et rabbins venus formellement initier le rapprochement judéo-musulman à l’occasion du Congrès de Bruxelles qui s’est déroulé en janvier 2005 et celui de Séville qui a eu lieu en mars 2006. Ces religieux venus de plus de 43 pays sont activement engagés dans la voie du dialogue entre leurs communautés.

    Ce site est dédié aux diverses initiatives découlant de leurs rencontres.»

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    Actions / Initiatives

    L'Everest: Une ascension pour la Paix


    Raconté par Orlando Bloom et salué par le Dalaï Lama comme « un accomplissement énorme », Everest : une ascension pour la paix n’est pas seulement un film classique sur l’Everest mais également un documentaire socialement important sur le thème de la paix, la guerre et l’homme. Il s’agit d’un film engagé qui met en scène les vues les plus incroyables de l’Everest ainsi qu’un sauvetage dramatique quasiment au sommet de l’Everest.

    + Lire la suite

    Encounter Point: un documentaire sur la paix réalisé par Just Vision

    'ONG Just Vision a réalisé en avril 2006 le documentaire Encounter Point (Point de Rencontre). Ce long métrage de 85 mn, dont le DVD est sorti en 5 langues (anglais, arabe, hébreu, français et portugais), a reçu de nombreux prix. Il retrace l’histoire de gens ordinaires, des civils palestiniens et israéliens, qui ont subi de plein fouet les conséquences du conflit, et qui ont surmonté leurs tragédies personnelles et leurs chagrins pour choisir de travailler avec leurs ennemis supposés dans le but de résoudre le conflit de façon non-violente.

    + Lire la suite


    VIDEOS sur

    http://www.imamsrabbis.org/

    La Paix est possible avec le soutien des citoyens du monde entier, de chacun d’entre nous




    http://www.imamsrabbis.org/


    Publications

    Les Versets douloureux - Bible, Evangile et Coran entre conflit et dialogue

    Né de la constatation que, trop souvent, le dialogue interreligieux ne pas passait par une phase nécessaire d'autocritique lucide et profonde, Les Versets Douloureux est un ouvrage coécrit par David Meyer, Soheib Bencheikh et Yves Simoens. Sa parution est prévue en février 2008 au Editions Lessius.

    Réconciliation entre un passé douloureux et un avenir plein d’espoir

    S.A.R. le Prince El Hassan bin Talal et le Rabbin Awraham Soetendorp ont rédigé une déclaration commune en guise de contribution au livre "Die Macht der Würde" (Le Pouvoir de la Dignité), édité par Christoph Quarch, Silke Lechner et Peter Spiegel.

    Ils rappellent que notre notre point de départ, comme nous apprenons à vivre avec de multiples perceptions de la vérité, doit être une reconnaissance formelle de notre humanité commune et du pouvoir de la dignité humaine.




    «Le Congrès Mondial des Imams et Rabbins pour la Paix rassemble les imams et rabbins venus formellement initier le rapprochement judéo-musulman à l’occasion du Congrès de Bruxelles qui s’est déroulé en janvier 2005 et celui de Séville qui a eu lieu en mars 2006. Ces religieux venus de plus de 43 pays sont activement engagés dans la voie du dialogue entre leurs communautés.

    Ce site est dédié aux diverses initiatives découlant de leurs rencontres.»



    http://www.hommesdeparole.org/

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    Lundi 4 août 2008

    Le mausolée du Báb au sommet du mont Carmel à Haifa.
    wikipedia.org
    Le mausolée du Báb au sommet du
    mont Carmel à Haifa.
    La foi bahá’íe

    La Terre n'est qu'un seul pays et tous les hommes en sont les citoyens (extrait des Ecrits bahá'ís)




    Encore peu connue en France, la Foi bahá’íe est la plus récente des religions révélées. Après 160 ans d’existence, elle compte 7 millions et demi de croyants (Encyclopédie Britannica) appartenant à plus de 2100 groupes ethniques de par le monde, et répartis dans plus de 190 pays et 46 territoires dépendants ce qui en fait la seconde religion géographiquement la plus répandue après le Christianisme. Ses écrits sont traduits dans plus de 800 langues.

    La Communauté Internationale Bahá’íe a depuis 1948 le statut d’ONG auprès de l’Organisation des Nations Unies. Depuis 1970 elle est dotée d’un statut consultatif auprès du Conseil économique et social (ECOSOC) et du Fonds des Nations Unies pour l’enfance (UNICEF). Elle entretient également des relations de travail avec l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et est associée au Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE).

    La religion bahá’íe a vu le jour au milieu du XIXe siècle en Perse (voir la rubrique Historique). Son fondateur est Bahá’u’lláh, un noble persan, qui a proclamé en 1863 être le porteur d’une nouvelle révélation, un nouveau message divin, dont la finalité est d’établir l’unité de la race humaine.

    Comme toute religion, la Foi bahá’íe comporte des Ecrits saints et des règles de vie. Mais elle n’a pas de clergé, chaque croyant étant appelé à lire et comprendre par lui-même les Ecrits. La communauté est dirigée par des instances élues, au niveau local, national et international.

    Les principes auxquels croient les bahá’ís et qui constituent la base de leur action sont résumés dans un texte de Shoghi Effendi, arrière-petit-fils de Bahá’u’lláh :

    « La Foi bahá’íe reconnaît l’unité de Dieu et de ses prophètes, soutient le principe de la recherche sans entraves de la vérité, condamne toutes formes de préjugé et de superstition, enseigne que le but de la religion est de promouvoir l’amitié et la concorde, proclame qu’elle doit aller de pair avec la science, et affirme qu’elle est le principal facteur de pacification, d’ordre et de progrès de la société. Elle affirme sans équivoque le principe de l’égalité des droits, des opportunités et des privilèges pour les hommes et pour les femmes, recommande l’éducation obligatoire, élimine les extrêmes de richesse et de pauvreté, élève au rang d’adoration le travail accompli dans un esprit de service, recommande le choix d’une langue auxiliaire internationale, et propose les institutions nécessaires pour établir et perpétuer une paix durable et universelle. »



    essentiels

    Le but de la religion est de favoriser l’épanouissement individuel, l’équilibre et le bonheur de la société en y établissant la concorde, la justice et l’unité. Pour atteindre cet objectif, Bahá’u’lláh a énoncé il y a plus de 140 ans les principes suivants :


    Principes essentiels :


    unité de l’humanité dans sa diversité

    Unité dans la Diversité

    L’élément central du message bahá’í est la nécessité de réaliser l’unité entre les peuples, les nations, les religions, en un mot l’unité du genre humain : « Le grand Être dit : Voici, ô mes bien-aimés, que vient d’être établi le tabernacle de l’union ; ne vous regardez donc plus comme des étrangers. Vous êtes les fruits d’un même arbre, les feuilles d’une même branche. » Bahá’u’lláh

    Cette unité doit toutefois se réaliser dans la diversité, c’est-à-dire en prenant en compte toute la richesse des différences qui existent au sein de l’humanité. Ce n’est en effet pas la diversité qui est à l’origine des conflits, mais simplement une attitude d’intolérance envers ce qui est différent.

    ’Abdu’l-Bahá écrit à ce sujet :

    « Si quelqu’un prétendait que l’unité ne peut pas être réalisée dans le monde parce que les peuples différent profondément dans leurs manières, leurs habitudes, leurs goûts, leurs tempéraments, leurs caractères, leurs pensées et leurs vues, nous lui répondrions qu’il y a deux sortes de différences. L’une est cause de destruction, comme le montre l’esprit de rivalité et de lutte qui anime les nations en conflit ou antagonistes. L’autre n’est qu’un signe de la diversité, un symbole secret de la perfection et la révélation des bénédictions du Très-Glorieux.

    Vois les fleurs d’un jardin : bien que d’espèce, de forme, de couleur et de taille différentes, elles sont cependant rafraîchies par les ondées d’un même printemps, ravivées par les brises du même vent, revigorées par les rayons d’un même soleil, et leur diversité ajoute à leur charme et accroît leur beauté.

    Combien serait morne pour l’oeil un jardin où plantes, feuilles, fleurs, branches et arbres seraient calqués sur un même modèle et auraient la même couleur ! La diversité des tons, des formes et des dimensions fait la richesse et l’ornement du jardin dont ils rehaussent l’effet. De même, lorsque plusieurs modes de pensée, de tempérament et de caractère sont placés côte à côte sous le pouvoir et l’influence d’un agent unique, la gloire et la beauté de la perfection humaine se révèlent et deviennent manifestes. »

    L’agent dont il est question ici est de nature spirituelle :

    « Seule la puissance céleste du monde divin qui gouverne et transcende la réalité des choses a le pouvoir d’harmoniser les divergences des pensées, des sentiments, des idées et des convictions qui règnent chez les enfants des hommes. »

    La foi bahá’íe en France

    e

    La Foi bahá’íe a été introduite en France en 1898. En un siècle d’existence, elle s’est implantée dans plus de 500 localités.

    Dès 1844, le Quai d’Orsay avait reçu de ses diplomates en Perse des rapports témoignant du drame dont étaient victimes les bábís.

    En 1865 la publication du livre « Religions et philosophies de l’Asie centrale » du comte Arthur de Gobineau révéla l’existence de cette nouvelle religion à l’opinion publique française, et en fit un sujet de conversation dans certains salons parisiens.

    En 1868, Napoléon III, alors au faîte de sa gloire, fit peu de cas du message de Bahá’u’lláh adressé aux rois et dirigeants de son temps. Dans une seconde épître, Bahá’u’lláh prédit à l’Empereur sa chute imminente. Quelques mois plus tard ce fut la défaite de Sedan.

     

    La première bahá’íe en France fut une Américaine résidant à Paris et nommée May Bolles. En 1898 elle entendit parler pour la première fois du message bahá’í, auquel elle adhéra immédiatement. Elle forma dans la capitale le premier groupe bahá’í d’Europe. Ce groupe comptait 25 membres dont un grand nombre d’artistes et d’étudiants.

    Les idées bahá’íes se répandirent bien que ses adeptes ne pratiquent pas le prosélytisme et malgré le climat de l’avant-guerre en France à cette époque.

    On retiendra entre autres le nom d’Hippolyte Dreyfus, premier bahá’í français, de Victor et Elise Ponsonaille, fondateurs de la première école bahá’íe pour enfants défavorisés, ou encore de Laura Barney, chevalier puis officier de la légion d’honneur pour son action humanitaire et en faveur de la condition féminine.


     En octobre 1911, Abdu’l-Bahá, fils de Bahá’u’lláh, qui était alors à la tête de la jeune communauté mondiale, arriva à Paris où il séjourna 9 semaines au 4 avenue de Camoëns, non loin de la Tour Eiffel. C’est alors que le tout Paris, croyants ou athées, instruits ou ignorants, français ou étrangers, journalistes ou personnalités du monde politique et littéraire se pressèrent pour l’entendre. Abdu’l-Bahá donna ainsi 51 causeries au cours desquelles il proclama l’unicité de Dieu, l’identité fondamentale de toutes les religions, le besoin de tenir compte de la réalité spirituelle de l’Homme. Il affirma que lorsque le peuple français se serait libéré du scepticisme et du matérialisme, il insufflerait à l’Europe la vitalité et l’enthousiasme nécessaires au changement des mentalités et à l’abolition des racismes et des nationalismes.

    La communauté bahá’íe bénéficie aujourd’hui en France du statut d’association cultuelle régulière.



     

    La religion bahá’íe (prononcer baˈhaːʔiː), aussi connue sous le nom de bahá'isme ou de foi bahá'ie a été fondée par le Persan Mirzâ Husayn 'Alî (1817-1892) en 1863. Ce nom est dérivé du surnom donné à son fondateur : Bahá'u'lláh (en arabe, « Gloire de Dieu » ou « splendeur de Dieu »). Les bahá'is sont les disciples de Baha'u'llah. Ils s'organisent autour de plus de 100 000 centres (répertoriés par le centre mondial de Haïfa) répartis dans le monde entier, et leurs écrits sont publiés en plus de 800 langues (accessibles dans les bibliothèques baháies). En 2007, elle compte environ 7 millions de croyants (ayant chacun signé sa déclaration d'adhésion) appartenant à plus de 2100 groupes ethniques, répartis dans plus de 193 pays (l'existence juridique de chaque communauté nationale ou régionale correspond à une démarche officielle effectuée dans le pays concerné). Son but est d'unir tous les peuples du monde dans une cause universelle et une foi commune. Son centre mondial est situé à Haïfa, en Israël.

    http://fr.wikipedia.org/wiki/Baha%C3%AFsme


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