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    Mardi 14 juillet 2009

     



    http://solidechanges.over-blog.com/article-32922263-6.html


    Dans cette longue réflexion...d'apparence philosophique, non dénuée d'intérêt, je m'exprimerais de façon progressive, volontairement en termes simples, imagés, (en évitant souvent les références "quantitavives"; de liens, de chiffres, de "penseurs" célèbres , ect)... et surtout  l'article n'a pas pour but de prendre une position déterminée excluant les autres, en se servant de critiques sur "un tel" ou "autre tel" ; (une religion qui serait meilleure par rapport à une autre), de façon subjective, d'autres personnes le font très bien sur leur blogs "à audience", sites, "proclamant" avec autoritarisme  une vérité précise ! Je pourrais de manière très facile "m'amuser à ce jeu" pour démontrer rapidement une théorie, mais je trouve cela  mesquin, de se positionner de cette manière là, c'est mon avis. Je préfère privilégier la réflexion, ce qui permet de prendre de la distance pour comprendre (possible prise de conscience). Mes écrits peuvent "séduires" ou déranger ceux qui ne seront pas d'accord; (les personnes point disposées  peuvent passer leur chemin "cool", puisque je ne pratique pas, contrairement à d'autres blogs, la provocation, volontaire, ça va de soi)... Je ne suis pas athée, ni catholique, ni de religion musulman, ni Juive, ni Boudhiste, ni protestante, ni faisant partie de ramifications évangeliques multiples, ni de sectes diverses, ni de ce que l'on appelle sectes, et encore moins ce particulier mouvement évolutif,  qui peut sournoisement tromper tout le monde (parce qu'il s'immisce dans tout, étant multiforme); "le New-age" .  Le discernement est une de mes qualités, (quand aux défauts, j'en ai trop!...)  En ce qui me concerne je suis assez croyante de nature
    ,  disons  que si j'étais obligée de me définir, ce serait comme une personne gnostique, chrétienne,  (je fuis aussi la banalisation du mot "Maître" à tout bout de champs) ...            "Bon vent à tous"                        (Vérena)

    De multiples religions, qui se rassembleraient (sans perdre vraiment leur origines), sous l'égide d'une seule, et qui pouraient voir le jour dans un proche futur??
    Telles des tentacules animées, et indépendantes qui malgré tout seraient rattachées à la composante d'une pieuvre....
    Alors, si tel était le cas, que serait cette "pieuvre", qu'elle serait son identité? sa composition exacte, ses racines et motivations profondes véritables!!?  
    c'est ce que nous verrons plus loin.
    .UNE AUTRE IMAGE QUE LA PIEUVRE;
    Voyez l'arbre; un seul arbre pour vivre, possède ses propres racines, la sève qui coule dans ses nervures, ses branches vivantes, rend possible la vie, grâce à ses propres authentiques racines... et si par exemple, ses racines sont malades, (ex, si le terrain est contaminé), il le devient aussi, (en témoigne des feuilles). L'arbre possède un corps central; le tronc qui tient en terre grâce à des racines, de celui-ci partent des branches (toutes différentes des unes des autres en tailles et formes). Les branches sont les diversités des religions, bien sûr, certaines sont plus avantagées que d'autres, mais leur point commun sont....la même race de  feuilles, grâce et à cause du tronc commun (dont elles n'ont pas entièrement conscience, tout "en le sachant")..


    L'EAU EST A LA VIE PHYSIQUE AUSSI NECESSAIRE , CE QUE L'AMOUR EST A L'EVOLUTION DE LA VIE SPIRITUELLE;
    Au dessus photo du Dan , un des affluants du fleuve Jourdain, ce dernier s'assèche ensuite vers l'aval, à cause des industries.



    Ce fleuve chargé d'une histoire "sacrée", le Jourdain, subit le déssèchement.






    L'origine du mot "religion"
    Ce mot dérive du latin "religio"signifiant; ce qui relie, rattache (et lie la morale à..., dans le sens aussi de retenir la conscience). Ce terme était aussi utilisé par les Romains  avant J.Christ,  désignait le symbole de  culte démoniaque. Le mot "religio" est controversé depuis l'antiquité, l'origine  semble venir aussi de la forme ...."relegere"; (rasssembler, revoir avec grand soin) ou "relegare" (relier).

    Il semble bien de toutes façons, de toutes époques, en tout endroit du monde, que le domaine religieux (forme extrèmement structurée de lois et morales humaines rajoutées  sur le temps de l'histoire, selon les époques politiques, et mélangées à des préceptes Divins, issus d'une origine (indirecte/directe),  est complètement relié "aux affaires" de ce monde, de la société: les preuves historiques de tout siècles en font témoignage. Qu'elle que soit la religion; Catholique, Musulman, Boudhiste, et toutes les autres, nombreuses, (sans compter les groupements religieux nommés sectes; (mais du fait de leur moins grandes étendues de groupements, leur relations sociétaires/religieuses sont alors percues de manière plus isolées subjectives et potentiellement inquiétantes, dérangeantes,voir possiblement dangereuses, car minoritaires confondues parfois avec des "mouvements"ou des "réseaux", on retrouve à l'origine de nombreuses contradictions.

    Hors, les "affaires de ce monde", de cette société marchande (qui ne date pas d'aujourd'h'ui, les formes ont simplement changées), n'ont rien en commun, de loin comme de près, avec les préceptes Divins, l'influence Divine "Dieu", (Puissance Créatrice Incommensurable). Mais, véritablement, les religions ne sont pas une illusion car elles se sont construites simultanément et sur le temps, à partir d'une empilation de faits historiques  religieux exacts, (de vérités) et à la fois inexacts, erronés; à cause de grande confusions, de "non dits" et de ce qui a été retranché volontairement (mis de côté); (la vérité de certains faits), et par rapport à de volontaires ou involontaires méprises, ou de "faux secrets"... Oui, hélas, car le processus et les procédés sont les mêmes que ceux des politiciens. Globalement, l'institution religieuse errigée, reconnue, est issue des grandes voies de ce monde, issue de conflit à l'origine, "c'est une politique", les autorités humaines religieuses de par leur gouvernance, ont la même manière (mais pas la même forme) "stratégique" et "tout à fait honorable" de mener un ou des peuples, que les autorités politiques!.
    Mais, "le bon grain ne croît-il pas avec l'ivraie"?!... ceci est une réalité dans tout les domaines de l'existence, à tout les degrés,  jusqu'au individus qu'ils soient riches ou pauvres.








    le pape en Palestine / Le Dalai lama en échange avec G. Bush







                                                         L'ayatollah Ali Khamenei, "guide Suprème de l'Iran"...          


    1°/ Dans un proche futur  serait-il possible, tel que le monde est aujourdh'ui et dans son évolution, (donc dans une continuité très particulière) que s'harmonise entre elles les religions actuelles (en une seule grande religion-"sociale-politique"), calquées sur une gouvernance politico-religieuse  mondiale; (le Nouvel Ordre Mondial politique) révélé et espéré aujourdh'ui par de nombreux dirigeants, dont certains ont commencer à parler fermement depuis 2005 et 2007 seulement, (à commencer par le président Bush, N.Sarkozy)... et Obama.

    2°/ Ou alors ce monde proche, futur, n'est -il possible qu'avec "une Vraie rupture radicale" (surtout pas dans une continuité), de tout ce qui entrave le respect de la Vie, de l'Amour fraternel ?(tout cela au sens absolu)  (et dans l'idéal; afin qu'émerge une vraie renaissance, une sorte de nouveau monde, et ou la souffrance, l'ignominie (mentale et physique), "les ordures de la ménagère" ne seraient "pas cachées" sous les meubles et le paillasson, pour que le reste paraisse propre!).

    Les diverses branches religieuses tendent à vouloir exprimer "quelque chose" qu'elle ont apparemment en commun; l'Amour!...;  l'amour sincère, le respect du prochain (des uns des autres), la Paix,  le PARTAGE, (l'inutilité de la superficialité et de la destruction), le non sens de la division et de la guerre...  Mais paradoxalement c'est le contraire qui a lieu; "on perd sa foi" souvent chaque fois,  comme couplé dans une forme relationnelle calquée  avec les intérêts de la domination spéculative, des pouvoirs politique, et de hautes puissances, qui dirigent les nations, tout "en ayant l'apparence de la piété" pour le coté communion religieuse, "mais reniant (dès l'opportunité), ce qui en fait la force"!

    Pie XII...

                                                                           prêtres et nazis    



                          





    Les divisions perpétuelles, hélas, indiquent néanmoins que tout est en constante et "nécessaire" évolution
    ;
    Chez les êtres vivants (et organismes), ce ne sont que:biologiquement psychologiquement, physiquement; spirituellement, de permanentes divisions nées d'une composite, (ou l'inverse)....on le constate aussi avec les plaques tectoniques de la croûte Terrestre...tout bouge, qu'on le souhaite, ou pas, c'est une  Loi de Vie (une sorte de Loi Divine), propre à l'évolution qu'elle qu'en soit la couleur...partout, jusque dans l'Univers incommensurable et celui mesurable... en fait, parce que tout est continuité parce que mutable.

    Les peuples qui sont divisés entre eux et adeptent de religions différentes, les individus d'un même peuple, tout autant divisés entre eux et issus de diverses croyances...aspirent à la légitimité de leur état, à la paix (à leur paix), d'une manière ou d'une autre. Tout ce monde, qui est d'ailleurs poussé dans sa vie quotidienne et sociale, souvent sous pression, à rechercher une forme de protection; protégeant sa vie (et celle des proches) et une sécurité durable,  espère au moyen (logiquement le plus facile) d'accéder à une autorité de paix réelle et d'opulence, de bien être. Oui pratiquement tous!...mais le problème..."l'aspiration" à cet état ne se constitue pas de la même manière, selon les croyances ou non-croyances, ou les morales idéologiques des individus provenant de divers milieux! Les consciences sont trop réduites pour cela.  Le constat; les religions instaurées, n'ont toujours pas de nos jours, amener une paix, qui soit durable dans leur propre pays, ni sur l'ensemble de la planète, ni par les diverses institutions religieuses ou politiques, ni par  des fidèles croyants, ni les incroyants.



    UN SIMPLE CONSTAT
    Et peu à peu aussi, "on" (certain individus et institutions) ont admis dans la religion, que la foi pouvait ne pas être pratiquée dans son quotidien, "hors pratique-hors vivance"; simplement par la pensée,  "la foi est quand même là, car "on appartient" (par la tradition? ou la génétique??) à "une église"...même si on se contente vaguement de croire mentalement, ou assidumment par pure tradition, l'important c'est de se contenter de respecter un peu le dogme"!. "Vive la vivante foi"!? c'est ainsi que, par exemple, on a eu l'habitude d'entendre et de voir qu'être de confession catholique pouvait être "une pratique ou pas"! (pratiquant ou non pratiquant)?... est demandé presque partout, jusqu'à des agences et sites de rencontres (bien sûr ce n'est pas vraiment obligatoire). C'est ainsi que le fait de porter sur soi une croix de façon flagrante et fantaisiste (catholique-romaine ou égyptienne), a pu devenir une simple mode à la fois décorative, esthétique, sugestionnant sans engagement de son être, l'appartenance probable à un courant de pensée...ce qui est semble être esssentiel, car l'individu ne renie pas le symbole de la croix! (la croix qui existe pour les tortures romaines et cultes égyptiens, bien avant la venue de J.Christ).
    On peut remarquer, issu des courants religieux (aussi bien que non religieux), très souvent un manque de tempérance et de discernement, et, en conséquence ce ne sont plus que DES EXTREMES QUI S'OPPOSENT, qui se répondent, un petit exemple; (en fait c'est..."l'arbre qui cache la forêt");  l'insistance du port du voile, et de la burqa pour les femmes - en face, [en France et parties de l'Occident] comme réponse se dresse une autre extrème, le Non, pas question!.... la réponse radicale du pape concernant le préservatif (le non) - face à une autre extrème; le problème du Sida et les modes de vies des gens qui n'évoluent plus du tout avec les mêmes repères qu'avant, puisqu'ils ne trouvent plus dans les traditions inculquées parfois aveuglément des réponses à leur questions intérieures...
    Très souvent une position qui se durcie (non pas sans raison), en amène en réponse une autre extrème....et ainsi de suite....Les véritables germes engendrant des conflits et divisions, ne font pas (et ne peuvent pas faire) l'objet au préalable d'une attention, discernement, réflexion nécessaire, tout simplement parce que ce n'est "pas possible" (tout du moins dans notre ère)...(
    si cela avait été le cas; le monde aurait évolué d'une manière paradisiaque, sans obstacles, sans conflits, sans maladie, et donc avec une autre conscience) 
    Pour résumé:
     Les nuances de tons n'existent pas dans tout "ces régimes."...Sauf si le  "Dieu" des multiples religions  a décidé de pardonner...et c'est de cette manière que fonctionne les institutions religieuses (de manière qui parait bien détournée, tout "en utilisant" "Dieu", "l'Incommensurable", à toutes les sauces), ("Dieu" pallie à ce qu'elles sont incapables de gérer à la base (alors que le germe, la source, "la vrai foi solide", c'est ce qu'il y a de plus important), ...
    et pourtant elles enseignent, elles ont une grande autorité de pouvoir, institutionnelle sociale-politique, (et religieuse)... ces deux domaines (religieux/politique) à une certaine époque, dans le monde, en France, semblaient très liés de manière précise, bien que séparés; l'autorité politique était subordonnée à une autorité religieuse (en violences physiques et aussi morales) . De nos jours, la distinction qui montre d'un coté le religieux, et de l'autre le politique n'est qu'une réalité purement apparente, il est évident de s'appercevoir, combien de multiples liens subtils,complexes relient ces deux ensembles... c'est comme  si ils étaient fondus... "étrangement" mélangés!

    Etats-Unis; c'est "sa Sainteté": le Pape










    M. Ahmadinejad et le "guide Suprème" Ali Khamenei sur toile de fond                                                  
                                                            "voile et drapeau"







               
                                                                                                          Boudhistes                              
                                                                                                    

    "Vous remarquerez que je fait la différence entre les personnes qui composent "un peuple de fidèles, croyants", et les dirigeants religieux...car en effet ce n'est pas tout à fait la même chose... une majorité de dirigeants agissent, enseignent "en toute connaissance de cause" (normalement ils en sont censés). Au peuple il lui est demandé de "faire confiance dans la foi", il n'a pas la responsabilité réelle de l'enseignement, mais il a la sienne envers ses proches, les autres, sa propre conscience, et libre à lui aussi d'admettre ou pas complètement, (ou pas du tout) ce qu'une  hierarchie précise religieuse va indirectement lui sugestionner, lui transmettre, libre à lui  de chercher de-ci  de-là "des pièces"  historiques d' époques, tout en prenant son temps pour en faire des comparaisons, synthèses; (cela vaut mieux si on est épris de vérité, de toutes façons, cela fait partie d'un tout; c'est une question d'état d'esprit, de nature). Mais le plus important n'est pas dans l'intellectualité, mais dans le coeur, un "vrai" coeur, une véritable tolérence, une Foi pas aveugle! J'ai rencontré  et croisées des personnes "adorables" dans ma vie, avec qui je ne  partageais pas tout à fait les mêmes opinions, mais ce n'était pas le plus important pour moi, car il y avait une telle gentillesse naturelle, dynamique, et vraie pudeur (humour), (le courant passait) qu'en fait cela rejoignait ce que je ressentais, et du coup; hop! envolées les barrières, pas d'hypocrisie, pas de conflit, pas de grandes paroles,! mais de l'amour fraternel simple, et cela même sans qu'il n'y ait à aucuns moments de discussion  sur des fondements d'ordre religieux, ou idéologiques ou politiques ... nous sentions pourtant que nous étions sur des cheminements un peu différents... mais LES DIFFERENCES N'EXISTAIENT PAS , car  il y avait du respect,  de la tolérance tout simplement .



    UNE PAIX GRACE A LA FORCE?
    Puisque les institutions religieuses et politiques sont (c'est une réalité), bien plus qu'étroitement liées qu'on ne le pense,(je pourrais citer beaucoup d' exemples, mais cela donne "des hauts de coeur"), et que les dirigeants politiques ne cessent ouvertement de nos jours (alors que c'était déjà une espérance établie "comme plan" juste avant le XX ème siècle), de prôner un "Nouvel Ordre" social Mondial, (la banque mondiale est déjà prête), qui rétablierait une SEULE sorte d'Ordre sur Terre, un vrai ordre et pour une Paix (universelle)...en même temps, les Etats et grands banquiers n'ont jamais autant fait commerce  pour les dépenses de l'armement! Quand à l'ONU, en tant qu'organisation, elle est plus qu'un symbole, elle est positionnée pour exercer le contrôle de la santé, de la justice, des armées, des grandes Banques, de l'agriculture...ect..En effet, l'Organisation des Nations Unies concentre peu à peu, et depuis des décennies,chaque jour un peu plus, tous les pouvoirs effectifs et où chaque pays représentés, n'a plus de réel lien avec la représentation de l'individu et ce que cela implique en matière de véritable respect humain, ex; ("Droits de l'homme")."L'harmonie de toutes les religions m'intérresse au plus haut point.Il ne s'agit pas simplement de donner naissance à une simple religion, mais plutôt de créer une perspective religieuse universelle, par laquelle toutes les cultures, toutes les religions et toutes les races pourront s'interconnecter." Leland Steward, Président du Conseil de l'Unité dans la Diversité, créé par une initiative de l'assemblée Générale de l'ONU en 1965;


    ONU

    CECI...                                              ET                                 CELA                                       

    Il est logique en conséquence, d'imaginer aisémment que s'effectuera la même chose, en matière de Croyance; (surtout que l'on peut voir dans chaque religions des divergeances de considérations, un éclatement de la cellule religieuse, des divisions) et ce, de manière complètement calquée, imbriquée avec le mouvement social/politique; en conséquence on ne peut s'empêcher de penser que probablement une bonne partie de l'humanité se laissera séduire pour une fusion..: le but; l'aplanissement des barrières génantes (grâce à la dispersion, confusion), (politico-religieuses), et ensuite "tout lisser, recondenser", afin de ne rien laisser au hazard, pour former ce nouvel Ordre Unique globale...qui aura une incarnation, quelqu'un à sa tête, (qui existe déjà dans de humbles débuts pour l'instant et que je ne nommerais pas; ce n'est pas le but précis de cet article). Oui, mais attention, une fois passer le contexte de la phase de séduction proposant une Paix aux nations et aux élites petites et grandes,(étant donné que les peuples n'en peuvent plus de ce que "les puissants" leurs font subirs; les guerres, le chantage, la précarité, la faim, les discriminations; toutes formes d'injustice) ect..., elles accepteront pleine d'espoir; d'autant plus que leurs religions ne seront pas de suite "élaguées", et que les dirigeants religieux évidemment  acquiesceront cette forme de Paix. Ensuite ce sera la deuxième phase; pour instaurer et enraciner fermement une paix mondiale (de par l'homme), ce sera tout concilier "de gré comme de force"...(gare aux pacifiques, aux lucides qui n'aprouveront pas)....et le plus "rigolo" c'est que le "spectre" de cette Paix (qui sera tant espérée) sera de toute façons instaurée par les mêmes fibres des puissances dirigeantes humaines, qui auront dans le passé proche et lointain amenées le désordre, provoquées la confusion, les conflits, guerres...  Mais alors..... qu'elle sera cette nouvelle religion? Et bien une religion que l'on pourrait nommer maintenant.... "celle qui dominera toute les autres" et conciliera tout le reste, aussi bien (la puissance technologique hyper élaborée, que l'on commence à rencontrer et réellement découvrir partout de nos jours,(alors qu'elle est super au point depuis la deuxième guerre mondiale, en Amérique bien sûr) et qui influe sur les comportements)...ce sera comme une forme d'incarnation si vous voulez. Ce sera celle qui existe déjà....à l'état de petits cocons, on pourrait lui donner le nom de; "la religion de la Nouvelle Paix, du Renouveau, mais elle a déjà un nom..."Nouvel Age" en américain; New Age!! Pourquoi ce... "New Age" Mondial semblera supplanter de manière subtile, et facile dans un premier temps,tout les autres dogmes? Tout simplement parce qu'il incarne la conséquence logique de toutes les "tentacules" liées les unes aux autres,à un corps commun, dont elle est issue... car il est immiscé dans presque tout ce qui fait tourner le monde de nos jours, il a l'apparence de plusieurs visages, vous savez un peu comme Apollon ce dieu grec à personnalité multiple, qui semblait absorber plusieurs autres divinités en lui,
    (un genre de morphing), c'est un système multiforme qui s'adapte à tout...au recto; il peut être la femme sans reproches,"parfaite", la mère honorable, et en même temps, coté verso, si j'image bien; être "la" pire des prostituées-criminelles abreuvée de sang"!
    Ce sera très difficile pour beaucoup de posséder un véritable discernement..(déjà que ce n'est pas facile aujourd'hui), mais une chose; "on peut voir l'arbre aux fruits" au cours d'une vie.

    La "religion", le mouvement "New Age", se définit dans une mystique-spiritualité. Ce n'est pas du tout une organisation, ni une secte, ni une définition politique ni une définition religieuse, ni une philosophie,  dans le sens ou elle ne s'affiche pas comme telle, disons qu'il faudrait essayer de la définir autrement pour bien faire; un courant diffus qui peut-être TOUT et rien à la fois.. 
    C'est ce que nous allons voir...dans un autre article (voir; "Le Nouvel Age" de l'Odre Mondial)






    SVP: en cours d'édition


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    Vendredi 12 juin 2009

    Livre de Pascal BonifacePar Jean-Claude Lefort

    Le livre de Pascal Boniface, « Vers la 4ème guerre mondiale ? », est une alerte « rouge » basée, comme le font les « scientifiques », non pas sur des hypothèses mais sur des faits réels, prouvés et incontestables. Sa conclusion : l’épicentre de tous les dangers mondiaux qui nous guettent aujourd’hui c’est cela, le conflit israélo-palestinien. La centralité de ce conflit pour le présent et l’avenir du monde est clairement établie.

    Il est assez rare, et même exceptionnel, que des auteurs puissent publier, quatre ans après la sortie d’un premier livre nous alertant sur les risques patents du déclenchement d’une guerre mondiale, une version nouvelle de leur livre initial. Une version certes actualisée mais non pas modifiée en ses fondements. Quand on peut s’adonner à cet exercice, c’est que l’auteur du livre initial voyait juste – « terriblement » juste en l’espèce – et que les événements nombreux survenus depuis, qui auraient pu faire fondre son raisonnement comme neige au soleil, sont venus au contraire renforcer son opinion et ses analyses prémonitoires, en quelque sorte. C’est assez rare pour être souligné d’emblée car combien de livres sont éphémères en cette matière.

    C’est ce que vient de faire Pascal Boniface, directeur de l’IRIS, avec la sortie, non pas revisitée mais actualisée, de son livre fondamental : « Vers la 4ème guerre mondiale ? »*

    La question qu’il pose, ou plutôt la démonstration rigoureuse qu’il fait, aboutissant à cette interrogation en forme d’affirmation suspendue, car si tout est possible rien n’est jamais fatal, est suffisamment sérieuse pour que les médias, qui connaissent les travaux de l’auteur, son sérieux, ses sources d’information incontestables, les médias donc devraient lui ouvrir tout grand leurs plateaux, leurs micros ou leurs colonnes pour qu’il s’explique. Il n’en va rien de moins, en effet, que de l’existence humaine sur la planète, et dans le « meilleur » des cas du devenir chaotique mais durablement dangereux des relations internationales. Au lieu de cela, c’est un silence assourdissant.

    C’est une question sérieuse, s’il en est, mais le simple citoyen est loin de mesurer qu’elle se pose aujourd’hui et qu’elle n’est pas du tout résolue dans un sens qui pourrait l’amener à être soulagé. Alors on préfère lui offrir les jeux du cirque, le Loto, le « Qui veut gagner des millions ? » et autres anesthésiants du même acabit.

    On est donc amené logiquement à se poser la question : mais pourquoi donc sur un sujet aussi sérieux et vital, cette chape de plomb ?

    La lecture de ce livre nous apporte une explication qui est loin d’être flatteuse pour ces censeurs irresponsables : les stratégies mises en œuvre aujourd’hui par les puissances dominantes – qui sont donc délibérées – ne sont rien de moins que porteuses, en toute connaissance de cause, d’une guerre mondiale.

    On pourrait se dire : « Mais c’est trop grave, il faut alerter l’opinion ! ». Ce serait logique si, comme il serait normal, on veut empêcher que le pire ne se produise. Mais si on le faisait, alors on ne verrait que trop que leur responsabilité est manifeste et accablante. Et évidemment il faut cacher cela au « bon peuple ».

    Pascal Boniface, avec son livre, rompt le silence contenu en lui. On le sent à le lire. Son livre est une alerte « rouge » basée, comme le font les « scientifiques », non pas sur des hypothèses mais sur des faits réels, prouvés et incontestables. C’est pourquoi, pour peu que son livre soit largement connu par l’opinion publique, celle-ci se mobiliserait pour empêcher absolument cette folle course vers « l’abîme déluge » que les « Grands qui nous gouvernent » nous préparent. Sciemment. Mais bien loin de tout regard. Secrètement, presque.

    Je ne veux ni ne peux ici résumer ce livre, un livre dense mais d’une lecture aisée et accessible au plus grand nombre. Ce n’est pas du BHL ou du Glucksmann qui vous embrouillent pour peu que vous parveniez à les lire. Il leur échoit de rendre présentable ou acceptable ce qui ne l’est pas ! Contorsions verbales confuses et mensongères poudrées de philosophie de bazar font le reste. Incompréhensibles à l’évidence, ineptes de manière flagrante, égocentrés à coup sûr mais qu’importe, ils ont « table ouverte » à TF1 ! Notamment.

    Je ne résumerai pas, car je ne le peux, ce livre d’opinion et de géostratégie d’autant plus que mon message principal, après avoir lu ce livre d’une traite, est simple : « Courez vite l’acheter ! Organisez des rencontres avec l’auteur ! Faites la chaine pour la paix ! Et vite, car il y a urgence. »

    Mais on comprendra, que dans des temps pas si anciens, ayant suivi avec une attention toute particulière ces questions à la « Commission des Affaires étrangères de l’Assemblée nationale », je décide d’écrire – ce qui est très rare – une présentation de ce livre.

    En effet, Pascal Boniface évoque avec son travail couché sur papier « une quatrième guerre mondiale ». Pourtant il n’y a pas eu de 3ème ! Si, la « troisième » s’étant terminée dans un fracas inévitable avec la fin du monde bipolaire – Est-Ouest. Elle n’a cependant pas, fort heureusement, donné lieu à une guerre « chaude ». Les camps en présence à l’époque étaient également équipés militairement et non sans heurts ils se sont tenus en respect jusqu’à ce que l’un des deux chute sous le poids de ses propres contradictions avec un coup d’épaules, pour accélérer le mouvement, de la part de l’Ouest. Celui-ci s’est empressé de déclarer « la fin du monde », pas la fin physique du monde mais la fin de l’histoire en termes de choix différents autres que le modèle triomphant.

    Cette « quatrième guerre mondiale » dont parle, pour nous alerter vivement, Pascal Boniface, est bien différente de la précédente.

    Depuis que le monde n’est plus lisible comme il l’était avant avec sa grille de lecture simple, bipolaire et binaire – Est contre Ouest – « on » a introduit une nouvelle dimension autrement moins claire, autrement moins définissable et atteignable, une course contre un adversaire qui peut durer des lustres. Un adversaire sorte de « furet » qui est passé effectivement par ici et qui à coup sûr repassera par là.

    Car il faut toujours un ennemi pour régner en maître. Dans son livre, Pascal Boniface rapporte cette phrase qui ne manque pas de sel, d’un conseiller diplomatique de M. Gorbatchev, Gueorgui Arbatov de son nom, annonçant malicieusement en 1987 à ses interlocuteurs américains : « Nous allons vous rendre le pire des services : vous priver d’ennemi. »

    Mais l’ennemi nouveau est vite arrivé, pour les Occidentaux, sorti tout droit de quelque école de Chicago ou d’ailleurs : le « choc des civilisations », le monde musulman et l’Islam, seraient devenus l’ennemi. Et pas n’importe lequel. Un ennemi particulièrement dangereux et très différent du précédent, car insaisissable, divers, une nébuleuse non organisée à la manière d’une armée. Un point commun à cet ennemi : il est classable dans la rubrique par eux concoctée de « terroriste ». La version « douce » de cette thèse étant : « Non pas que tous les musulmans soient terroristes, mais tous les terroristes sont musulmans. », comme le note Pascal Boniface.

    Et de fait des événements tragiques sont intervenus, notamment aux USA, en septembre 2001. Pour la première fois, un Etat à l’apogée de sa grandeur a été frappé en plein cœur. Ce qui indique que la supériorité militaire ne fait plus tout pour assurer la sécurité. Et depuis, si Ben Laden n’a (curieusement) toujours pas été attrapé, face à cet « adversaire », une seule réponse basée sur la force a été mise en œuvre. Une politique qui, comme le remarque l’auteur, n’a qu’une façon d’aborder le problème : la force brutale des armes. Non pas qu’il ne faille pas se protéger. Mais l’éradication des causes est plus efficace que celle des effets, laquelle provoque une véritable montée de haine contre l’Occident de la part du monde musulman. C’est un engrenage fou qui est à l’œuvre. Fou et dangereux. Plus il y a de coups violents et militaires portés de manière aveugle mais systématique et plus le fondamentalisme monte en écho. Et le terrorisme, prétendument adversaire déclaré.

    En toute chose c’est une solution politique qui peut avoir raison et nous éviter le pire, nous dit ce livre. Loin d’éradiquer le « terrorisme » cette politique lui donne une matière propice à prospérer, c’est son engrais. Car la haine qu’elle provoque inévitablement accouche de radicalismes encore plus nombreux.

    Mais on retiendra toute son attention sur la thèse centrale de Pascal Boniface. Le cœur du cœur de tout cela, pour lui, c’est le conflit israélo-palestinien. C’est sa thèse principale, que je partage totalement. Il n’affirme pas, il la démontre comme il souligne comment et pourquoi, dans cette optique, Israël bénéficie de cette protection sans faille qui place ce pays au dessus du droit international. Et il est encouragé à le faire puisque ce pays, qui bafoue et foule aux pieds non seulement le droit mais ses propres engagements, connaît une incroyable impunité. Une totale et absolue impunité. C’est un cas unique au monde.

    Au terme de son raisonnement, plus exactement de sa démonstration étayée avec soin et rigueur, sans manichéisme d’aucune sorte, Pascal Boniface en arrive à cette conclusion : l’épicentre de tous les dangers mondiaux qui nous guettent aujourd’hui c’est cela, le conflit israélo-palestinien. La centralité de ce conflit pour le présent et l’avenir du monde est clairement établie.

    Car avec raison il écrit à propos de ce conflit qui n’en finit pas de durer tandis que la solution est connue mais qu’on se refuse à imposer, uniquement, encore, dans ce cas, et en totale contradiction avec le chapitre VII de la Charte des Nations unies. « La paix est un choix difficile mais hasardeux. Mais l’absence de paix est la garantie de la catastrophe qui ne concerne pas les seuls Israéliens et Palestiniens. Car chaque jour qui passe et qui ne nous rapproche pas de la paix élargit le fossé entre le monde musulman et le monde occidental ». Et l’auteur enfonce le clou : « Cet état de guerre permanent ne sera pas confiné au seul Proche-Orient et au fur et à mesure, il y aura contagion dont nous ferons les frais ».

    La nouvelle direction israélienne extrémiste totale (qu’on reçoit sans scrupules sous les lambris dorés de la République) n’a qu’un objectif au demeurant déclaré : frapper l’Iran. Imaginez un instant la somme des réactions qui s’enchaineraient. Pascal Boniface ne pourrait plus écrire de livres, et nous ne pourrions plus les lire. Des livres qui seraient intitulés : « Vers une 4ème guerre mondiale ? » ne seraient plus. Plus de livres de ce type pour nous alerter. Il y aurait une guerre mondiale sans point d’interrogation.

    L’avenir du mode contemporain se joue là-bas, et cela on ne nous l’avait pas dit, à ne rien faire pour régler cet « épicentre » de l’instabilité internationale à partir duquel prolifèrent tous les risques encourus.

    Allez vite, encore une fois, acheter le livre de Pascal Boniface. Et offrez-le, à coup sûr, ceux qui sont spectateurs d’un monde rendu incompréhensible volontairement, deviendront des acteurs d’un monde qui soit au moins un monde de paix. Et donc de justice. C’est trop sérieux pour s’abstenir de le faire.

    Jean-Claude Lefort

    Le 1er juin 2009

    * Pascal Boniface, « Vers la 4ème guerre mondiale ? », 210 pages, chez « Armand Colin ».

    http://www.dazibaoueb.fr/article.php?art=4220#4220


    Sur le sujet, tous MES articles - liste :

    http://www.over-blog.com/recherche/recherche-blog.php?ref=1080274&query=guerre+mondiale

    en particulier: Scénarios, acteurs, buts
    http://r-sistons.over-blog.com/article-31673726.html

    La guerre comme solution à la surpopulation ! Seule une riposte mondiale des populations peut...  : http://r-sistons.over-blog.com/article-18033524.html


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    Mardi 9 juin 2009

     

     

    Un exemple héroïque
    pour les générations actuelles

     


    L’Insurrection
    du Ghetto de Varsovie

     

     

     


    Insurgés juifs du Ghetto de Varsovie.

     


    Il y a 64 ans jour pour jour, le 19 avril 1943, la veille de Pessah, en réponse à l’attaque massive de la Wehrmacht, la Direction de l’Organisation Juive de Combat, créée en juillet 1942, donne le signal de l’Insurrection. Cette Direction est composée de cinq membres : Mordekhaï Anielewicz du Hashomer Hatzaïr en est le commandant ; Marek Edelman du Bund, le commandant en second ; en font également partie Icchak Cukiermann du mouvement pionnier Hekhaloutz, Hersz Berlinski du Poale Sion de gauche et Michal Rojzenfeld du Parti communiste.

     

    Ainsi que le rappelle Marek Edelman, l'un des rares combattants survivants, dans la postface de la réédition de ses « Mémoires du Ghetto de Varsovie » en 2002 :

     


    « La défense du Ghetto n'avait rien d'inattendu. Elle était la suite logique de quatre années de résistance d'une population enfermée dans des conditions inhumaines, humiliée, méprisée, traitée, selon l'idéologie des vainqueurs, comme des sous-hommes. Malgré ces conditions dramatiques, les habitants du ghetto ont, dans la mesure du possible, organisé leur vie selon les plus hautes valeurs européennes. Alors que le pouvoir criminel de l'occupant leur refusait tout droit à l'éducation, à la culture, à la pensée, à la vie, voire à une mort digne, ils ont créé des universités clandestines, des écoles, des associations et une presse. Ces actions qui engendraient la résistance contre tout ce qui menaçait le droit à une vie digne, ont eu pour conséquence l'insurrection. Celle-ci était l'ultime moyen de refus des conditions de vie et de mort inhumaines, l'ultime acte de lutte contre la barbarie et pour la sauvegarde de la dignité. »

     

    Quand, dans une récente interview par le quotidien israélien Yediot Aharonot, la journaliste lui demande si l’insurrection n’était pas une forme de suicide collectif, Marek Edelman s’insurge :

     

    « En nous soulevant, nous avons rappelé notre appartenance au genre humain. En prenant les armes contre ceux qui voulaient nous anéantir, nous nous sommes raccrochés à la vie et nous sommes devenus des hommes libres. »

     

    Et c’est effectivement un message à la fois désespéré, mais aussi de foi en un avenir que la plupart d’entre eux ne connaîtraient pas, que les insurgés adressèrent à l’extérieur ainsi qu’en témoigne ce passage extrait de la « Proclamation du Ghetto au combat » lancée le 23 avril :

     

    « Nous nous battons pour notre liberté et pour la vôtre... Pour notre honneur et pour le vôtre... Pour notre dignité humaine, sociale, nationale et pour la vôtre... »

     

    Durant cette période effroyable de 1939 à 1945, des Juifs se sont battus sur tous les fronts, dans des armées régulières, dans des mouvements de résistance, et dans d’autres ghettos que celui de Varsovie. Mais c’est par cet appel à la conscience des générations futures que l’Insurrection du Ghetto de Varsovie constitue aujourd’hui un symbole. Un symbole dont, malheureusement, beaucoup de ceux qui le commémorent chaque année ont apparemment oublié, ou voulu oublier, le sens.

     


    [Texte extrait de « Points critiques », mensuel de l'Union des progressistes juifs de Belgique, n° 275, avril 2007 – Publié sur le site de RésistanceS – www.resistances.be – le 13 avril 2007]

     

     

     

    « Nous voulons sauver la dignité humaine »


    Mordekhaï Anielewicz, l'un des cinq jeunes combattants des insurgés du Ghetto de Varsovie.

    Le soulèvement a commencé le 19 avril 1943, déclenché par 400 insurgés de l'Union militaire juive (ZZW) et environ 40 combattants de l'Organisation juive de combat (ZOB).

    Durant les combats environ 7 000 résidents du ghetto ont été tués, 6 000 ont été brûlés vifs ou gazés durant la destruction totale du quartier, les Allemands déportèrent les survivants dans le camp d'extermination de Treblinka et les camps de travail de Poniatowa, de Trawniki et de Majdanek.

    L'impact psychologique de l'insurrection du ghetto de Varsovie a été très importante. La résistance a été plus forte que prévue par les Allemands, même si l'issue était certaine vu le déséquilibre des forces.

    « My nie chcemy ratowac zycia. Zaden z nas zywy z tego nie wyjdzie. My chcemy ratowac ludzka godnosc »
    (« Nous ne voulons pas sauver notre vie. Personne ne sortira vivant d'ici. Nous voulons sauver la dignité humaine »).
    Arie Wilner (pseudo Jurek) soldat de la ZOB.

    [Texte extrait de la notice sur la révolte du Ghetto de Varsovie publiée sur Wikipedia ]



    http://www.resistances.be/varsovie.html


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    Mardi 9 juin 2009

    http://juif.org

    Contre le choc de civilisations :

    M. Barack Obama affiche un changement de ton radical par rapport à ses prédécesseurs vis-à-vis du monde arabe et du monde musulman, comme vis-à-vis du conflit israélo-palestinien, dont la résolution sur la base du droit international est une question centrale. Des mesures concrètes s’imposent pour contraindre Israël à respecter enfin le droit international. L’Europe et la France ont en ce sens un rôle à jouer comme l’exigent de plus en plus nombreux les citoyens.

    C’est une véritable rupture de ton avec celui de son prédécesseur que vient d’afficher le président des Etats-Unis, M. Barack Obama, pour sa première visite dans le monde arabe

    D’abord, après la politique guerrière mise en œuvre par les néo-conservateurs américains engagés dans une croisade au nom du « choc des civilisations », il en a appelé à une nouvelle ère de relations entre les Etats-Unis et le monde musulman.

    Ensuite, estimant qu’une course aux armements nucléaires entraînerait la région dans « une voie extrêmement dangereus e », il s’est prononcé, à nouveau, pour un monde sans armes nucléaires et a assuré que « toute nation -y compris l’Iran- doit avoir le droit d’accéder à la puissance nucléaire pacifique » si elle se conforme au Traité de non prolifération nucléaire.

    Le président américain a également réitéré son engagement à soutenir les aspirations du peuple palestinien à la création d’un Etat indépendant, sans toutefois fonder la solution du conflit sur le droit international et en se limitant à la « feuille de route ». Il a de nouveau affirmé que « La colonisation israélienne doit cesser ». Tout en qualifiant les liens entre les Etats-Unis à Israël d’ « inaltérables », il a souligné que « la situation pour le peuple palestinien est intolérable ». Reconnaissant le soutien dont jouit le Hamas auprès d’une partie du peuple palestinien, il l’a en même temps appelé à « mettre fin à la violence », notamment pour « jouer un rôle », « répondre aux aspirations des Palestiniens, et unifier le peuple palestinien ». Il tient là aussi des propos différents de ceux de son prédécesseur. Il ne s’est toutefois pas engagé dans la voie du retrait de ce mouvement de la liste des organisations terroristes ni dans la voie du dialogue pourtant incontournable.

    M. Barack Obama tient un discours qui se veut « équilibré ». En fait, alors qu’Israël poursuit l’occupation de la Palestine, première des violences, et que le peuple palestinien résiste au siège insupportable de la bande de Gaza qui se poursuit –depuis plus de trois ans- après vingt-deux jours de massacres, résiste à l’occupation, à la colonisation de la Cisjordanie notamment à Jérusalem-Est, au mur de l’annexion, à l’étouffement économique et social qu’imposent des centaines de barrages militaires, aux démolitions de maisons, aux agressions militaires meurtrières, au maintien en détention de quelque 11.000 prisonniers politiques… le président américain réclame des gestes « de part et d’autre ».

    Il n’empêche : les dirigeants israéliens ont vu dans ce discours du président américain une rupture par rapport à la politique de George W. Bush, lequel n’a eu de cesse de soutenir de façon inconditionnelle la politique colonisatrice de Tel-Aviv.

    En fait, nul ne doute plus qu’il ne peut y avoir de paix au Moyen-Orient tant que le conflit israélo-palestinien demeure irrésolu ; c’est aussi ce que recommandait en décembre 2006 la commission bipartisane sur l’Irak dirigée par M. James Baker et M. Lee Hamilton, qui prônait une totale réorientation de la diplomatie américaine dans la région et mettait en lumière la centralité de ce conflit.

    La paix passe par la mise en œuvre des droits nationaux du peuple palestinien et du droit international.

    M. Barack Obama annonce vouloir créer un climat propice à la reprise des pourparlers. Mais cela pourtant ne saurait suffire. Il faut désormais des actes concrets pour contraindre enfin Israël à respecter ses engagements et les résolutions des Nations unies, que Tel-Aviv viole systématiquement depuis plus de soixante ans.

    Or, Barak Obama a indiqué ne pas vouloir imposer la paix.

    La France et l’Europe doivent s’engager dans la voie de la paix. Les déclarations ne suffisent plus. L’Europe, sous l’impulsion de la France, ne saurait légitiment s’engager dans la voie d’un « rehaussement » honteux de ses relations avec Tel-Aviv. Elle doit au contraire suspendre l’accord d’association avec Israël tant que cet Etat continue de violer le droit international et ses propres engagements. Elle doit intervenir avec détermination pour une véritable conférence de paix fondée sur le droit international, avec des garanties et un calendrier précis d’application. Une conférence est envisagée cet été à Moscou. Ira-t-elle dans ce sens ? Les citoyens, engagés de plus en plus nombreux dans le mouvement de solidarité avec la Palestine et pour la paix, détiennent la clé de l’avenir pacifique de la région et plus largement. Notre association doit y trouver motif à un rehaussement de son action.

    Paris, le 6 juin 2009

    Sur ce site, à visiter :
    http://www.france-palestine.org/

    Je vous rappelle que vous pouvez parrainer des petits Palestiniens
    ce qui d'ailleurs fera vivre toute leur famille
    voir le site http://www.france-palestine.org/

    Soutenir aussi contre le 2 poids 2 mesures,
    le prisonnier  franco-palestinien injustement détenu
    ici http://www.france-palestine.org/

    Toutes les dernières nouvelles, analyses etc
    abonnez-vous à ce site :
    http://www.france-palestine.org/

     


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    Vendredi 29 mai 2009

     

    Etudes du Crif
     

    Les détours du rapprochement judéo-arabe et judéo-musulman à travers le monde
    12/06/08
             
    - - Thème: Dialogue


     

     

    Ce numéro 14 des Études du Crif sur les détours du rapprochement judéo-arabe et judéo-musulman à travers le monde est un long panorama. Ce texte est trop engagé ? Oui. Il ne dit rien de l’extrémisme, de l’intégrisme, du terrorisme et de l’antisémitisme ? Certes. De plus, il évite de trop s’interroger sur l’efficacité réelle de ce qui est présenté ici. Malgré tout, ce nouveau numéro des Études du Crif a le mérite d’exister, malgré de nombreux passages subjectifs.

    Les auteurs de ce texte veulent volontairement taire tout ce qui nous oppose, toutes les récriminations réciproques de l’une ou l’autre partie, pour mettre l’accent sur tout ce qui nous unit, pour permettre à nos enfants d’envisager un avenir plus serein, plus radieux et d’apprendre dès le plus jeune âge la tolérance et le respect de l’autre.
    Ne doit-on pas tendre la main ? Ne faut-il pas tenter de réduire les tensions ? Ne convient-il pas de rejeter fermement les stéréotypes ? Ne doit-on pas lutter contre les préjugés ? Les Arabes et les Israéliens doivent ils passer leur temps à s’ignorer ? À se regarder en chiens de faïence ? Ou à s’entretuer ?

    Parce que nous pensons que le flot d’incompréhension doit cesser...
    Parce qu’il importe de mesurer ce que Juifs et musulmans peuvent faire ensemble... Parce qu’un jour, les armes devront se taire... Parce que le heurt des ignorances est insupportable... Parce que nous refusons le choc des civilisations ou des religions... Parce que le monothéisme se conjugue à trois voix... Parce que nous sommes les enfants d’Abraham... Nous devons nous parler. Nous devons nous rencontrer. Nous devons réapprendre à nous connaître. Nous devons croire que l’Homme n’est pas voué à ignorer son prochain, mais à penser au devenir de l’Humanité. Nous devons tout faire pour conforter ce choix : le choix du dialogue.   Albert Cohen, Président de la Commission du Crif des Relations avec les Musulmans Marc Knobel, Directeur de la publication des Etudes du Crif     Vous pouvez lire l’intégralité de l’Etude du CRIF n°14 en cliquant sur le lien suivant : http://www.crif.org/pdf/etude_14.pdf
    (Le document étant assez lourd, le téléchargement prendra quelques minutes)



    http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=11359&returnto=articles_display/list&tg_id=11&artyd=80



    Autre étude du CRIF : L'Antisémitisme sur le NET.


    http://www.crif.org/index.php?page=articles_display/detail&aid=11177&returnto=articles_display/list&tg_id=11&artyd=80


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